(1909-1989)
Henri Goetz est un artiste né à New York dans une famille française qui s’installe définitivement à Paris en 1930. Sa peinture rassemble à la fois les leçons du Surréalisme et les influences de l’Abstraction lyrique. Ingénieur de formation, Henri Goetz invente une technique de gravure ainsi qu’un nouveau pastel.
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LES ANNÉES 1940
Quand les procédés surréalistes permettent l’abstraction
Catalogue de l’exposition
Henri Goetz naît le 29 septembre 1909 à New York dans une famille d’origine française. Son père dirige une entreprise de matériel électrique et encourage naturellement son fils vers la voie de l’ingénierie. En 1927, Henri Goetz intègre MIT (Massachusetts Institute of Technology) à Boston. Il commence alors à s’intéresser à l’art et suit des cours de dessin. En 1929 il s’inscrit à l’université de Harvard et y étudie l’Histoire de l’art. Dès l’année suivante, il prend des cours de peinture à la Grand Central School of Art de New York. Ses camarades lui racontent leurs expériences à Paris, ce qui donne l’envie à Goetz de s’installer en France.
Arrivé à Paris en 1930, Henri Goetz fréquente l’académie Julian puis l’atelier du peintre Amédée Ozenfant. Il peint essentiellement des portraits : « Au début je me suis consacré uniquement au portrait, car la figure humaine me paraissait contenir une chaleur que je n’avais pas trouvée dans mes études où je me préparais à une carrière d’ingénieur électricien. Durant ces six années, la peinture apprise dans les académies me servait à créer des ressemblances et à approfondir l’intimité du regard des autres. » [1] L’artiste exprime la personnalité de ses modèles à travers une peinture expressionniste et colorée.
En 1934, Henri Goetz rencontre le peintre Victor Bauer qui lui fait découvrir la peinture surréaliste mais aussi le freudisme et les arts premiers. L’année suivante, il épouse la peintre Christine Boumeester qu’il avait rencontré à la Grande Chaumière. Henri Goetz découvre la peinture de Picasso, de Paul Klee, de Fernand Léger et de Kandinsky. Le couple devient également très proche de Hans Hartung, leur voisin du 19, rue Daguerre, qui les introduit dans le cercle des peintres abstraits. Cette année-là, les trois peintres exposent ensemble au Salon des Surindépendants.
En 1936, Henri Goetz bascule vers une peinture non figurative avec un aspect surréaliste. Il raconte : « Si je choisis le monde non figuratif, c’est que je crois qu’il est plus vaste que l’autre. Je crois qu’il y a plus à découvrir dans l’inconnu que dans le connu. Si la limite du connu est l’inconnu, l’inverse ne me semble pas vrai. » [2] Le peintre Henri Goetz bénéficie de sa première exposition personnelle l’année suivante à la Galerie Bonaparte (Van Leer), rue Bonaparte. Il se lie d’amitié avec les artistes César Domela, Luis Fernandez, Julio Gonzales, Maria Helena Vieira da Silva et son mari Árpád Szenes, Gérard Vulliamy et Gérard Schneider.
En 1938, Henri Goetz peint à la tempéra et à la peinture à l’œuf sur des photographies d’œuvres anciennes célèbres, comme une collaboration posthume avec les maîtres. André Breton découvre ces œuvres en 1939 et les appelle « Chefs-d’œuvre corrigés ». Ces peintures seront exposées pour la première fois seulement en 1975 à la Galerie Jean-Claude Bellier à Paris. Le peintre Henri Goetz se situe ainsi entre surréalisme et abstraction : « Je croyais pouvoir créer des formes où mon inconscient rejoindrait ceux des autres. Cette démarche n’était pas étrangère à celle des surréalistes mais sa réalisation s’opérait dans un univers des formes pour moi abstraites, mais évocatrices d’objets connus, parfois organiques. Cette ressemblance ne m’intéressait guère, ce qui m’éloignait des surréalistes. L’espace de mes tableaux ressemblait à celui des œuvres classiques. Je n’étais pas considéré comme artiste abstrait et pourtant je me sentais plus près d’eux. » [3]
La Seconde guerre mondiale éclate en 1939. Henri Goetz, américain, n’est pas mobilisable car les États-Unis ne sont pas encore entrés dans le conflit. Il devient résistant et entre dans la clandestinité. Goetz et son épouse se rendent à Carcassonne où ils rejoignent les peintres belges Raoul Ubac et René Magritte. De retour à Paris en été 1940, Henri Goetz, Raoul Ubac et le peintre Christian Dotremont fondent la revue surréaliste La Main à la Plume. Henri Goetz peint des illustrations à l’aquarelle pour les écrivains Paul Eluard et Georges Hugnet. En 1942, La Femme Facile de Hugnet, illustré par Goetz, est publié aux Éditions Jeanne Bucher. Cette même année, la Galerie Jeanne Bucher expose ensemble Henri Goetz et Christine Boumeester. Les deux artistes rencontrent Picasso.
[1] Mes démarches, lettre manuscrite par Goetz datée de 10 juin 1975, reproduite dans une plaquette éditée par la Galerie La Pochade, à l’occasion d’une exposition itinéraire dans les centres culturels.
[2] Galpérine, Goetz, Paris, Musée de Poche, 1972.
[3] Mes démarches, lettre manuscrite par Goetz datée de 10 juin 1975, reproduite dans une plaquette éditée par la Galerie La Pochade, à l’occasion d’une exposition itinéraire dans les centres culturels.
Les États-Unis entrent en guerre en 1942 et le couple Goetz se réfugie dans le Midi où il retrouve Jean Arp, Alberto Magnelli et Nicolas de Staël. Puis, les Goetz quittent Nice pour Cannes où ils rencontrent les Picabia. En 1943, Henri Goetz crée des lithographies pour Explorations écrit par Francis Picabia et paru en 1945 aux Éditions Vrille. La critique d’art Maria Lluïsa Borràs i González publie une monographie sur Francis Picabia en 1985 dans laquelle elle affirme que « le retour à l’abstraction de Picabia est dû aux conversations avec ce jeune couple de peintres, Christine Boumeester et Henri Goetz […]. Ouverts et cordiaux, ils étaient amis avec de nombreux artistes de leur génération, Hartung, Vieira da Silva, Domela, Atlan ou Raoul Ubac, avec qui ils avaient fondé La Main à plume, considérée comme l’organe de la seconde vague surréaliste. » [4]
En 1944, le couple rentre à Paris. L’année suivante, le journaliste René Guilly invite Henri Goetz à présenter l’émission hebdomadaire Le Domaine de Paris consacrée à la peinture moderne et contemporaine sur Radio Diffusion. À cette époque-là, Henri Goetz est proche de Brancusi, Braque, Hartung, Kandinsky, Picabia, Picasso, Schneider et de Soulages. En 1946, le peintre Henri Goetz participe à l’exposition collective 10 ans de peinture à la Galerie Breteau à Paris. En 1947 le réalisateur Alain Resnais tourne Portrait d’Henri Goetz pour le Musée d’Art moderne de Paris, court métrage en 16mm dans lequel un peintre exécute une œuvre devant la caméra. Henri Goetz et sa femme Christine Boumeester sont naturalisés français en 1949.
La gravure est une partie importante de l’œuvre de Henri Goetz à laquelle il consacre beaucoup de temps à partir de 1940. En 1948, Goetz publie un album de gravures aux éditions Les Nourritures Terrestres, puis fonde sa propre maison d’édition : Groupe Graphies avec son épouse, le graveur Albert Flocon et l’artiste Raoul Ubac.
La totalité de son œuvre gravé est estimé autour de 650 estampes. Le département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France en possède l’ensemble le plus important avec 425 estampes réalisées grâce à des techniques diverses : burin, eau-forte, lithographie et sérigraphie. [5]
Henri Goetz maitrise en effet les techniques traditionnelles de gravures. De plus, en 1968, il invente le procédé de la gravure au carborundum, qui sera aussi connue sous le nom de « procédé Goetz » [6]. L’artiste utilisera exclusivement ce procédé à partir de 1969. Ce long travail de recherches est documenté dans l’ouvrage La Gravure au carborundum préfacé par le peintre Joan Miró et édité par la Galerie Maeght. Henri Goetz enseigne lui-même cette technique à ses amis les peintres Antoni Clavé, James Coignard, André Masson et Max Papart.
Henri Goetz a une formation d’ingénieur et a une curiosité naturelle pour les sciences. C’est lors d’une expérimentation qu’il découvre que le carborundum est résistant à la chaleur et à la pression. Le carbure de silicium (carborundum) est un abrasif artificiel obtenu en chauffant à haute température du charbon en poudre avec de la silice jusqu’à ce que le mélange cristallise. Pour la gravure, ces grains abrasifs sont mélangés avec des colles ou des vernis qui vont les fixer sur la plaque. Cette plaque est ensuite encrée. Les grains de carborundum étant rugueux, Ils retiennent l’encre et créent une multitude de points noirs. C’est donc le matériau parfait pour créer des demi-teintes.
[4] Maria Lluïsa Borràs i González, PICABIA, Barcelone, Ediciones Poligrafa, 1985
[5] Josimov, Stanko, L’Œuvre gravé de Goetz, mémoire de recherche, Paris IV-Sorbonne, 2009
[6] Henri Goetz, La Gravure au carborundum, Paris, Éditions Maeght, 1969
En parallèle, Henri Goetz commence ses recherches sur la technique du pastel. En 1949, il demande au marchand de couleurs Henri Sennelier de créer pour son ami Picasso une technique alliant pastel et peinture. De cette collaboration entre les deux inventeurs naît le pastel à l’huile Sennelier inspiré par les bâtons de peinture à l’huile mis au point par le peintre Jean-François Raffaëlli autour de 1890. En 1979, Henri Goetz a l’idée de chauffer le papier avant d’y apposer le bâton de pastel ce qui fait fondre ce dernier. Cela lui permet de peindre directement avec la couleur, sans outils intermédiaire. Henri Goetz apprend également la technique du papyrus. Il fabrique ainsi ses propres supports de dessin à partir de 1979.
De 1950 à 1955, Henri Goetz enseigne la peinture à l’Académie Ranson (école d’art fondée en 1908 à Paris par le peintre Paul-Elie Ranson). Puis, entre 1955 et 1964, il donne des cours de peinture aux académies de la Grande Chaumière (jusqu’en 1960), Notre-Dame-des-Champs, Raspail, Fréchet et Malebranche, ainsi qu’au Conservatoire américain de Fontainebleau. Il fonde sa propre académie en 1965 dans les locaux de l’ancienne Académie d’André Lhote (18, rue d’Odessa, passage du Départ) où il enseignera bénévolement jusqu’en 1984. L’artiste témoigne : « Cet enseignement m’apporte au moins autant qu’il apporte aux autres et j’aime dire que je suis parmi les meilleurs élèves de mes ateliers, car plus on sait, plus l’on est à même d’apprendre. » [7]
Henri Goetz est fait chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres en 1967. En 1970, il intègre la commission du 1% pour la décoration des bâtiments publics. Le Musée Goetz-Boumeester est créé en 1983 à Villefranche-sur-Mer. Ce musée accueille une donation d’une cinquantaine d’œuvres de Christine Boumeester et autant d’Henri Goetz ainsi que quelques œuvres de leur collection crées par leurs amis : Picasso, Picabia, Miro et Hartung.
Christine Boumeester meurt à Paris le 10 janvier 1971 et Henri Goetz meurt à Nice le 12 août 1989.
[7] Ariel no 1, à l’occasion de l’exposition Goetz, 13 ans de peinture 1952-1965, Galerie Ariel, 1966
© Galerie Diane de Polignac / Mathilde Gubanski
Henri Goetz avec son chien Luc (Photographie : Hans Hartung)
Collections (sélection)
Akron (OH), Akron Art Museum
Antibes, Musée Picasso
Bruxelles, Musée national d’art moderne de Bruxelles
Fontevraud, Musée d’Art moderne – collections nationales Martine et Léon Cligman
Grenoble, Musée de Grenoble
Jérusalem, Musée d’Israël
Middelburg, Zeeuws Museum
Newark (NJ), Newark Museum
New Orleans (LA), New Orleans Museum of Art – NOMA
Paris, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou
Paris, Musée d’Art moderne de Paris
Paris, Centre national des arts plastiques
Phoenix (AZ), Phoenix Art Museum
Rome, Museo di Arte contemporanea di Roma – MACRo
Saint-Etienne, Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole
San Diego (CA), San Diego Museum of Art – SDMA
San Francisco (CA), Musée d’art moderne de San Francisco – SFMOMA
Santa Fe (NM), New Mexico Museum of Art
Strasbourg, Musée d’art moderne et contemporain
Toulouse, Les Abattoirs
Vilafamés, Museo de Arte Contemporáneo
Villefranche-sur-Mer, Musée Goetz-Boumeester
West Palm Beach (FL), Norton Museum of Art
Barcelone, Fundació Joan Miró
Expositions (sélection)
Salon des surindépendants, de 1935 à 1952
Galerie Bonaparte (Galerie Van Leer), Paris, 1937
Galerie Jeanne Bucher, Paris, 1942, 1945
Galerie l’Esquisse, Paris, 1943
Galerie Breteau, Paris, 1946, 1947
Galerie Maeght, Paris, 1947
Salon de mai, de 1947 à 1960
Mid-Century Art Gallery, Los Angeles (CA), 1948
Galerie Colette Allendy, Paris, 1948
Salon des Réalités Nouvelles, de 1948 à 1953
Galerie des Deux-Iles, Paris, 1949
Galerie du Siècle, Paris, 1950, 1951
Galerie 55, Paris, 1951
Galerie Numéro 21, Florence, 1951
Galerie Fiegel, Bâle, 1952
Galerie Evrard, Lille, 1952
Galerie Marbach, Berne, 1952
Galerie Art moderne, Bâle, 1952
Kunstcabinet Horemans, Anvers, 1953
Galerie Ariel, Paris, 1953, 1954, 1957, 1958, 1959, 1961, 1963, 1966
Circle and Square Gallery, New York (NY), 1953
Galerie Cittadella, Locarno, 1954
Galerie Schwarz, Milan, 1954
Institut français de Milan, 1954
Salon Comparaisons, 1955, 1956
Art Center, Atlantic City (NJ), 1956
Galerie Obelisk, Londres, 1956
Galerie La Hune, Paris, 1958, 1962-1973
Galerie Obelisk, Rome, 1962
Institut Français, Mayence, 1963
Galerie Sonet, Stockholm, 1960-1970
Galerie Boisserée, Cologne, 1965
Galerie Arta, La Haye, 1965
Galerie Hervieu, Saint-Paul-de-Vence, 1965
Galerie Daberkow, Francfort, 1965
Maison de la Culture, Le Havre, 1967
Franska Galleriet, Malmö, 1969
Gallerie Harmonies, Grenoble, 1969
Galerie Daberkow, Francfort, 1969
Galerie Sylviane Garnier, Saint-Omer, 1970
Galerie Ostermalm, Stockholm, 1970
Galerie Georges Bongers, Paris, 1972
Galerie Armorial, Bruxelles, 1972
Galerie Cour St-Pierre, Genève, 1972
Galerie San Francisco, Lisbonne, 1973
L’ARCO, Rome, Italie, 1973
Galerie Örebro, Suède, 1973
Galerie Venezia Viva, Venise, 1974
École des beaux-arts, Angers, 1974
Galerie Soleil, Paris, 1974
Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, 1975, 1976, 1978, 1980, 1981, 1983, 1985, 1988, 1991, 1998, 2000
Galerie Robert Hervieu, Malmö, 1975
Centro d’Arte II Castello, Venise, 1975
Galerie Jean-Claude Bellier, Paris, 1975
Galerie La Pochade, Paris, 1975
Galerie Cavalero, Cannes, 1976
Maison de la Culture, Ibn Rachiq, Tunis, 1976
Palais de la Méditerranée, Nice, 1976
Galerie du Palais, Marseille, 1976
Septentrion, Lille, 1976, 1977
Galerie Arcurial, Paris, 1977
Galerie M’Arte, Milan, 1977
Institut français de Téhéran, 1978
Galerie Bellechasse, Paris, 1978, 1979, 1981, 1983
Galerie Simone Badinier, Paris, 1978
Musée de Sète, Sète, 1978
Musée de Melun, Melun, 1978
Galerie Paul Bruck, Luxembourg, 1979
Musée de Montbrison, 1979
Galerie Valle Orti, Valencia, 1979
Galerie Cabinet des Estampes, Colmar, 1979
Galerie Claude-Jory, Paris, 1979
Galerie de la Société industrielle de Mulhouse, 1979
Galerie de L’Escalier, Bruxelles, 1979
Palais des congrès, Strasbourg, 1979
Musée de Saarbrucken, Allemagne, 1980
Musée du Château, Belfort, 1980
Musée de Belfort, Belfort, 1981
Galerie Kutter, Luxembourg, 1981
Galerie Matarasso, Nice, 1981, 1982
Galerie des Maîtres contemporains, Aix-en-Provence, 1983
Musée Goetz-Boumeester, Villefranche-sur-Mer, 1984
Galerie l’Obsidienne, Paris, 1985
Forum des Arts, Reims, 1985
Galerie Cupillard, Saint-Tropez, 1985
Galerie Jacques Verrière, Lyon, 1986
Palais de l’Europe, Menton, 1986
Crawshaw Gallery, 50 Years of Painting, Londres, 1986
Institut français d’Ecosse, Édimbourg, 1987
Galerie Bailly, Nancy, 1987
Galerie Aittouarès, Paris, 1987, 2001
Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Crawshaw, Londres, 1987
Henri Goetz, Rétrospective, Centre de l’Alliance française, Édimbourg, 1987
Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Michel Reymondin, Genève, 1988
Henri Goetz, Studio Rita Gallé, Milan 1988
Henri Goetz, Rétrospective, Galerie du Cobra, Paris, 1988
Bibliothèque nationale de Paris, 1988
Théâtre de l’Opéra municipal, Nice, 1988
Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Artuel, Paris, 1989
Galerie Bourgoin-Pissaro, Paris, 1989
Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Hanin-Nocera, Paris, 1991
Galerie Verdaine, Genève, 1991
Galerie 26, Paris, 1992
Galerie Hanin-Nocera, Goetz-Boumeester, Paris, 1993
Galerie Raphaël Westend, Francfort, 1994
Chambre de commerce et d’industrie de Strasbourg, 1995
La Côte d’Azur et la modernité, 1918-1958, Musée de Nice, Nice, 1997
Galerie Elyette Peyre, Paris, 1999
Galerie Cazeau – Bérodière, Paris, 2001
Années 1935-1960, Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, 2009
Années 1960-1989, Galerie Hambursin-Boisanté, Montpellier, 2009
Hommage à Henri Goetz, Galerie Rémy Bucciali, Colmar, 2009
Bibliographie (sélection)
Boumeester-Goetz, dessins et peintures, catalogue d’exposition, Galerie Bonaparte, Paris, 1937
Tableaux de 36 à 48, catalogue d’exposition, Galerie Colette Allendy, Paris, 1949
Jean-Roger, Henri Goetz, Presses Littéraires de France, Paris, 1952
Vercors, Goetz, Le Musée de Poche, Paris, 1958
Goetz, 1952-1961, catalogue d’exposition, Galerie Ariel, Paris, 1961
Pastel, catalogue d’exposition, Galerie Ariel, Paris, 1963
Catalogue Bolaffi d’art moderne, p.176-177, Giulio Bolaffi Editore, Turin, 1966
Goetz, 1952-1966, catalogue d’exposition, Galerie Ariel, Paris, 1966
Henri Goetz, La gravure au carborundum, préface de Joan Miro, éditions Maeght, Paris, 1969
Boumeester-Goetz, catalogue d’exposition, Franska Galleriet, Malmö, 1969
Goetz, catalogue d’exposition, Galerie Otermalm, Stockholm, 1970
Alexandre Galpérine, Goetz, Le Musée de Poche, Paris, 1972
L’Œuvre gravé de Henri Goetz, 1940-1972, textes de C. Tisari, éditions Sonet, Stockholm, 1973
Goetz, gravures, catalogue d’exposition, Galerie San Francisco, Lisbonne, 1973
Henri Goetz, catalogue d’exposition, Galerie L’Arco, Rome, 1973
Henri Goetz-Christine Boumeester, catalogue d’exposition, Galerie Venizia Viva, Venise, 1974
Henri Goetz, 1935-1948, catalogue d’exposition, préface de Michel Eyriey, Galerie Jean-Claude Bellier, Paris, 1975
Henri Goetz, catalogue d’exposition, Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, 1975
Henri Goetz, catalogue d’exposition, textes de Luigi Lambertini, Giuseppe Appella, éditions il Messagio, Regio Calabria, 1976
Karl Masrour, L’Œuvre gravé de Goetz, 1940-1977, textes de Oscar Reutersväd, Michel Mélot, Denise Zayan et Henri Goetz, éditions Art Moderne, Paris, 1977
Gérard Xuriguera, Henri Goetz, éditions Lucas, Gandia, 1977
Antonio Urrutia, Gérard Xuriguera, Henri Goetz, Guadalimar, 1978
Henri Goetz, 1948-1978, catalogue d’exposition, texte de Gérald Gassiot-Talabot, éditions Aemmepi, Milan, Galerie Bellechasse, Paris, 1978
Boumeester-Goetz, catalogue d’exposition, Musée Paul-Valéry, Sète, 1978
Karl Masrour, Répertoire de l’œuvre 1935-1980, textes de Bernard Dorival, Jean Guichard-Meili, Gérard Xuriguera, Guy Sautter, Gérald Gassiot-Talabot, Georg W. Költzsch, Michel Mélot et Henri Goetz, La Nuova Foglio editrice, Macerato, 1981
Karl Masrour, Gérald Gassiot-Talabot, Henri Goetz, éditions Lucas, Gandia, 1981
Gérard Xuriguera, Les années cinquante, p. 88-89 éditions Arted, Paris, 1984
Goetz, peintures, papyrus, pastels, dessins, gravures, catalogue d’exposition, Galerie L’Obsidienne, Paris, 1985
Henri Goetz, 50 Years of Painting, catalogue d’exposition, Crawshaw Gallery, Londres, 1986
Catalogue du Musée, textes de Bernard Dorival, Vercors, Michel Mélot, Musée Goetz-Boumeester, citadelle de Villefranche-sur-Mer, 1987
Henri Goetz, huile, pastel, technique-mixte, 1962-1978, catalogue d’exposition, Galerie Aittouarès, Paris, 1987
« Goetz », Revue Poésimage, n° spécial 15-16, textes de J. Guichard-Meili, Serge Brindeau, A. Lagrange, Francis Picabia, Karim Boudjemaa, Jean-Pierre Geay et Henri Goetz. Savigny-le -Temple, 1989
Jean-Pierre Geay, Henri Goetz, entretien avec Henri Goetz, éditions Cercle d’Art, Paris, 1989
Henri Goetz et Jean-Pierre Geay, Livres et manuscrits, éditions Fédération des Œuvres Laïques de l’Ardèche, 1990
John Castegno, European Artists 1800-1990, p. 267 The Scarecrow Press, Londres, 1990
Maurice Rousseau-Leurent, Carborundum engraving. La gravure au carborundum, préface d’Henri Goetz, éditions Galerie Nannini, Villefranche-sur-Mer, 1991
L’Art du XXe siècle, Dictionnaire de peinture et sculpture, p. 327, éditions Larousse, Paris, 1991
Dictionnaire de l’art moderne et contemporain, p. 258, édition Hazan, Paris, 1992
Lydia Harambourg, L’École de Paris 1945-1965, p. 207 à 210, éditions Idées et Calendes, Paris, 1993
Goetz, Rétrospective, 1933-1989, catalogue d’exposition, « Trajectoire d’une œuvre » par Jean-Pierre Geay, Centre culturel d’Issoire, 1993
Jeanne Bucher, Une galerie d’avant-garde 1925 – 1946 de Max Ernst à de Staël, p. 84 et 115, éditions Skira, Paris, 1994
10 ans du Musée Goetz-Boumeester. Hommages aux Amis, catalogue d’exposition, Chapelle Saint-Elme, citadelle de Villefranche-sur-Mer, 1994
Henri Goetz, Rétrospective, 1935-1989, catalogue d’exposition, « Découvrir Henri Goetz » par Jean-Pierre Geay, Chambre de commerce et d’industrie de Strasbourg, éditions Garnier Nocera, Paris, 1995
Pascal le Thovel-Deviot, Petit Dictionnaire des artistes contemporains, p. 106, éditions Bordas, Paris, 1996
Frédéric Nocera, Catalogue raisonné de l’œuvre 1930-1960, extrait du texte de Henri Goetz, Ma vie, mes amis, éditions Garnier Nocera, Paris, 2001