henri goetz - portrait

Henri Goetz

(1909-1989)

Henri Goetz est un artiste né à New York dans une famille française qui s’installe définitivement à Paris en 1930. Sa peinture rassemble à la fois les leçons du Surréalisme et les influences de l’Abstraction lyrique. Ingénieur de formation, Henri Goetz invente une technique de gravure ainsi qu’un nouveau pastel.

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Exposition

La jeunesse d’Henri Goetz à New York

Henri Goetz naît le 29 septembre 1909 à New York dans une famille d’origine française. Son père dirige une entreprise de matériel électrique et encourage naturellement son fils vers la voie de l’ingénierie. En 1927, Henri Goetz intègre MIT (Massachusetts Institute of Technology) à Boston. Il commence alors à s’intéresser à l’art et suit des cours de dessin. En 1929 il s’inscrit à l’université de Harvard et y étudie l’Histoire de l’art. Dès l’année suivante, il prend des cours de peinture à la Grand Central School of Art de New York. Ses camarades lui racontent leurs expériences à Paris, ce qui donne l’envie à Goetz de s’installer en France.

Henri Goetz à Paris

Arrivé à Paris en 1930, Henri Goetz fréquente l’académie Julian puis l’atelier du peintre Amédée Ozenfant. Il peint essentiellement des portraits : « Au début je me suis consacré uniquement au portrait, car la figure humaine me paraissait contenir une chaleur que je n’avais pas trouvée dans mes études où je me préparais à une carrière d’ingénieur électricien. Durant ces six années, la peinture apprise dans les académies me servait à créer des ressemblances et à approfondir l’intimité du regard des autres. » [1] L’artiste exprime la personnalité de ses modèles à travers une peinture expressionniste et colorée.

En 1934, Henri Goetz rencontre le peintre Victor Bauer qui lui fait découvrir la peinture surréaliste mais aussi le freudisme et les arts premiers. L’année suivante, il épouse la peintre Christine Boumeester qu’il avait rencontré à la Grande Chaumière. Henri Goetz découvre la peinture de Picasso, de Paul Klee, de Fernand Léger et de Kandinsky. Le couple devient également très proche de Hans Hartung, leur voisin du 19, rue Daguerre, qui les introduit dans le cercle des peintres abstraits. Cette année-là, les trois peintres exposent ensemble au Salon des Surindépendants.

En 1936, Henri Goetz bascule vers une peinture non figurative avec un aspect surréaliste. Il raconte : « Si je choisis le monde non figuratif, c’est que je crois qu’il est plus vaste que l’autre. Je crois qu’il y a plus à découvrir dans l’inconnu que dans le connu. Si la limite du connu est l’inconnu, l’inverse ne me semble pas vrai. » [2] Le peintre Henri Goetz bénéficie de sa première exposition personnelle l’année suivante à la Galerie Bonaparte (Van Leer), rue Bonaparte. Il se lie d’amitié avec les artistes César Domela, Luis Fernandez, Julio Gonzales, Maria Helena Vieira da Silva et son mari Árpád Szenes, Gérard Vulliamy et Gérard Schneider.

Henri Goetz et le surréalisme

En 1938, Henri Goetz peint à la tempéra et à la peinture à l’œuf sur des photographies d’œuvres anciennes célèbres, comme une collaboration posthume avec les maîtres. André Breton découvre ces œuvres en 1939 et les appelle « Chefs-d’œuvre corrigés ». Ces peintures seront exposées pour la première fois seulement en 1975 à la Galerie Jean-Claude Bellier à Paris. Le peintre Henri Goetz se situe ainsi entre surréalisme et abstraction : « Je croyais pouvoir créer des formes où mon inconscient rejoindrait ceux des autres. Cette démarche n’était pas étrangère à celle des surréalistes mais sa réalisation s’opérait dans un univers des formes pour moi abstraites, mais évocatrices d’objets connus, parfois organiques. Cette ressemblance ne m’intéressait guère, ce qui m’éloignait des surréalistes. L’espace de mes tableaux ressemblait à celui des œuvres classiques. Je n’étais pas considéré comme artiste abstrait et pourtant je me sentais plus près d’eux. » [3]

La Seconde guerre mondiale éclate en 1939. Henri Goetz, américain, n’est pas mobilisable car les États-Unis ne sont pas encore entrés dans le conflit. Il devient résistant et entre dans la clandestinité. Goetz et son épouse se rendent à Carcassonne où ils rejoignent les peintres belges Raoul Ubac et René Magritte. De retour à Paris en été 1940, Henri Goetz, Raoul Ubac et le peintre Christian Dotremont fondent la revue surréaliste La Main à la Plume. Henri Goetz peint des illustrations à l’aquarelle pour les écrivains Paul Eluard et Georges Hugnet. En 1942, La Femme Facile de Hugnet, illustré par Goetz, est publié aux Éditions Jeanne Bucher. Cette même année, la Galerie Jeanne Bucher expose ensemble Henri Goetz et Christine Boumeester. Les deux artistes rencontrent Picasso.

[1] Mes démarches, lettre manuscrite par Goetz datée de 10 juin 1975, reproduite dans une plaquette éditée par la Galerie La Pochade, à l’occasion d’une exposition itinéraire dans les centres culturels.

[2] Galpérine, Goetz, Paris, Musée de Poche, 1972.

[3] Mes démarches, lettre manuscrite par Goetz datée de 10 juin 1975, reproduite dans une plaquette éditée par la Galerie La Pochade, à l’occasion d’une exposition itinéraire dans les centres culturels.

Henri Goetz dans le midi

Les États-Unis entrent en guerre en 1942 et le couple Goetz se réfugie dans le Midi où il retrouve Jean Arp, Alberto Magnelli et Nicolas de Staël. Puis, les Goetz quittent Nice pour Cannes où ils rencontrent les Picabia. En 1943, Henri Goetz crée des lithographies pour Explorations écrit par Francis Picabia et paru en 1945 aux Éditions Vrille. La critique d’art Maria Lluïsa Borràs i González publie une monographie sur Francis Picabia en 1985 dans laquelle elle affirme que « le retour à l’abstraction de Picabia est dû aux conversations avec ce jeune couple de peintres, Christine Boumeester et Henri Goetz […]. Ouverts et cordiaux, ils étaient amis avec de nombreux artistes de leur génération, Hartung, Vieira da Silva, Domela, Atlan ou Raoul Ubac, avec qui ils avaient fondé La Main à plume, considérée comme l’organe de la seconde vague surréaliste. » [4]

En 1944, le couple rentre à Paris. L’année suivante, le journaliste René Guilly invite Henri Goetz à présenter l’émission hebdomadaire Le Domaine de Paris consacrée à la peinture moderne et contemporaine sur Radio Diffusion. À cette époque-là, Henri Goetz est proche de Brancusi, Braque, Hartung, Kandinsky, Picabia, Picasso, Schneider et de Soulages. En 1946, le peintre Henri Goetz participe à l’exposition collective 10 ans de peinture à la Galerie Breteau à Paris. En 1947 le réalisateur Alain Resnais tourne Portrait d’Henri Goetz pour le Musée d’Art moderne de Paris, court métrage en 16mm dans lequel un peintre exécute une œuvre devant la caméra. Henri Goetz et sa femme Christine Boumeester sont naturalisés français en 1949.

Henri Goetz et la gravure

La gravure est une partie importante de l’œuvre de Henri Goetz à laquelle il consacre beaucoup de temps à partir de 1940. En 1948, Goetz publie un album de gravures aux éditions Les Nourritures Terrestres, puis fonde sa propre maison d’édition : Groupe Graphies avec son épouse, le graveur Albert Flocon et l’artiste Raoul Ubac.

La totalité de son œuvre gravé est estimé autour de 650 estampes. Le département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France en possède l’ensemble le plus important avec 425 estampes réalisées grâce à des techniques diverses : burin, eau-forte, lithographie et sérigraphie. [5]

Henri Goetz maitrise en effet les techniques traditionnelles de gravures. De plus, en 1968, il invente le procédé de la gravure au carborundum, qui sera aussi connue sous le nom de « procédé Goetz » [6]. L’artiste utilisera exclusivement ce procédé à partir de 1969. Ce long travail de recherches est documenté dans l’ouvrage La Gravure au carborundum préfacé par le peintre Joan Miró et édité par la Galerie Maeght. Henri Goetz enseigne lui-même cette technique à ses amis les peintres Antoni Clavé, James Coignard, André Masson et Max Papart.

Henri Goetz a une formation d’ingénieur et a une curiosité naturelle pour les sciences. C’est lors d’une expérimentation qu’il découvre que le carborundum est résistant à la chaleur et à la pression. Le carbure de silicium (carborundum) est un abrasif artificiel obtenu en chauffant à haute température du charbon en poudre avec de la silice jusqu’à ce que le mélange cristallise. Pour la gravure, ces grains abrasifs sont mélangés avec des colles ou des vernis qui vont les fixer sur la plaque. Cette plaque est ensuite encrée. Les grains de carborundum étant rugueux, Ils retiennent l’encre et créent une multitude de points noirs. C’est donc le matériau parfait pour créer des demi-teintes.

[4] Maria Lluïsa Borràs i González, PICABIA, Barcelone, Ediciones Poligrafa, 1985

[5] Josimov, Stanko, L’Œuvre gravé de Goetz, mémoire de recherche, Paris IV-Sorbonne, 2009

[6] Henri Goetz, La Gravure au carborundum, Paris, Éditions Maeght, 1969

Henri Goetz et le pastel

En parallèle, Henri Goetz commence ses recherches sur la technique du pastel. En 1949, il demande au marchand de couleurs Henri Sennelier de créer pour son ami Picasso une technique alliant pastel et peinture. De cette collaboration entre les deux inventeurs naît le pastel à l’huile Sennelier inspiré par les bâtons de peinture à l’huile mis au point par le peintre Jean-François Raffaëlli autour de 1890. En 1979, Henri Goetz a l’idée de chauffer le papier avant d’y apposer le bâton de pastel ce qui fait fondre ce dernier. Cela lui permet de peindre directement avec la couleur, sans outils intermédiaire. Henri Goetz apprend également la technique du papyrus. Il fabrique ainsi ses propres supports de dessin à partir de 1979.

Henri Goetz et l’enseignement

De 1950 à 1955, Henri Goetz enseigne la peinture à l’Académie Ranson (école d’art fondée en 1908 à Paris par le peintre Paul-Elie Ranson). Puis, entre 1955 et 1964, il donne des cours de peinture aux académies de la Grande Chaumière (jusqu’en 1960), Notre-Dame-des-Champs, Raspail, Fréchet et Malebranche, ainsi qu’au Conservatoire américain de Fontainebleau. Il fonde sa propre académie en 1965 dans les locaux de l’ancienne Académie d’André Lhote (18, rue d’Odessa, passage du Départ) où il enseignera bénévolement jusqu’en 1984. L’artiste témoigne : « Cet enseignement m’apporte au moins autant qu’il apporte aux autres et j’aime dire que je suis parmi les meilleurs élèves de mes ateliers, car plus on sait, plus l’on est à même d’apprendre. » [7]

La postérité d’Henri Goetz

Henri Goetz est fait chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres en 1967. En 1970, il intègre la commission du 1% pour la décoration des bâtiments publics. Le Musée Goetz-Boumeester est créé en 1983 à Villefranche-sur-Mer. Ce musée accueille une donation d’une cinquantaine d’œuvres de Christine Boumeester et autant d’Henri Goetz ainsi que quelques œuvres de leur collection crées par leurs amis : Picasso, Picabia, Miro et Hartung.

Christine Boumeester meurt à Paris le 10 janvier 1971 et Henri Goetz meurt à Nice le 12 août 1989.

[7] Ariel no 1, à l’occasion de l’exposition Goetz, 13 ans de peinture 1952-1965, Galerie Ariel, 1966

© Galerie Diane de Polignac / Mathilde Gubanski

henri goetz - portrait photographie hans hartung

Henri Goetz avec son chien Luc (Photographie : Hans Hartung)

COLLECTIONS (SÉLECTION)

Collections (sélection)

Akron (OH), Akron Art Museum

Antibes, Musée Picasso

Bruxelles, Musée national d’art moderne de Bruxelles

Fontevraud, Musée d’Art moderne – collections nationales Martine et Léon Cligman

Grenoble, Musée de Grenoble

Jérusalem, Musée d’Israël

Middelburg, Zeeuws Museum

Newark (NJ), Newark Museum

New Orleans (LA), New Orleans Museum of Art – NOMA

Paris, Musée national d’art moderne – Centre Georges Pompidou

Paris, Musée d’Art moderne de Paris

Paris, Centre national des arts plastiques

Phoenix (AZ), Phoenix Art Museum

Rome, Museo di Arte contemporanea di Roma – MACRo

Saint-Etienne, Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole

San Diego (CA), San Diego Museum of Art – SDMA

San Francisco (CA), Musée d’art moderne de San Francisco – SFMOMA

Santa Fe (NM), New Mexico Museum of Art

Strasbourg, Musée d’art moderne et contemporain

Toulouse, Les Abattoirs

Vilafamés, Museo de Arte Contemporáneo

Villefranche-sur-Mer, Musée Goetz-Boumeester

West Palm Beach (FL), Norton Museum of Art

Barcelone, Fundació Joan Miró

EXPOSITIONS (SÉLECTION)

Expositions (sélection)

Salon des surindépendants, de 1935 à 1952

Galerie Bonaparte (Galerie Van Leer), Paris, 1937

Galerie Jeanne Bucher, Paris, 1942, 1945

Galerie l’Esquisse, Paris, 1943

Galerie Breteau, Paris, 1946, 1947

Galerie Maeght, Paris, 1947

Salon de mai, de 1947 à 1960

Mid-Century Art Gallery, Los Angeles (CA), 1948

Galerie Colette Allendy, Paris, 1948

Salon des Réalités Nouvelles, de 1948 à 1953

Galerie des Deux-Iles, Paris, 1949

Galerie du Siècle, Paris, 1950, 1951

Galerie 55, Paris, 1951

Galerie Numéro 21, Florence, 1951

Galerie Fiegel, Bâle, 1952

Galerie Evrard, Lille, 1952

Galerie Marbach, Berne, 1952

Galerie Art moderne, Bâle, 1952

Kunstcabinet Horemans, Anvers, 1953

Galerie Ariel, Paris, 1953, 1954, 1957, 1958, 1959, 1961, 1963, 1966

Circle and Square Gallery, New York (NY), 1953

Galerie Cittadella, Locarno, 1954

Galerie Schwarz, Milan, 1954

Institut français de Milan, 1954

Salon Comparaisons, 1955, 1956

Art Center, Atlantic City (NJ), 1956

Galerie Obelisk, Londres, 1956

Galerie La Hune, Paris, 1958, 1962-1973

Galerie Obelisk, Rome, 1962

Institut Français, Mayence, 1963

Galerie Sonet, Stockholm, 1960-1970

Galerie Boisserée, Cologne, 1965

Galerie Arta, La Haye, 1965

Galerie Hervieu, Saint-Paul-de-Vence, 1965

Galerie Daberkow, Francfort, 1965

Maison de la Culture, Le Havre, 1967

Franska Galleriet, Malmö, 1969

Gallerie Harmonies, Grenoble, 1969

Galerie Daberkow, Francfort, 1969

Galerie Sylviane Garnier, Saint-Omer, 1970

Galerie Ostermalm, Stockholm, 1970

Galerie Georges Bongers, Paris, 1972

Galerie Armorial, Bruxelles, 1972

Galerie Cour St-Pierre, Genève, 1972

Galerie San Francisco, Lisbonne, 1973

L’ARCO, Rome, Italie, 1973

Galerie Örebro, Suède, 1973

Galerie Venezia Viva, Venise, 1974

École des beaux-arts, Angers, 1974

Galerie Soleil, Paris, 1974

Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, 1975, 1976, 1978, 1980, 1981, 1983, 1985, 1988, 1991, 1998, 2000

Galerie Robert Hervieu, Malmö, 1975

Centro d’Arte II Castello, Venise, 1975

Galerie Jean-Claude Bellier, Paris, 1975

Galerie La Pochade, Paris, 1975

Galerie Cavalero, Cannes, 1976

Maison de la Culture, Ibn Rachiq, Tunis, 1976

Palais de la Méditerranée, Nice, 1976

Galerie du Palais, Marseille, 1976

Septentrion, Lille, 1976, 1977

Galerie Arcurial, Paris, 1977

Galerie M’Arte, Milan, 1977

Institut français de Téhéran, 1978

Galerie Bellechasse, Paris, 1978, 1979, 1981, 1983

Galerie Simone Badinier, Paris, 1978

Musée de Sète, Sète, 1978

Musée de Melun, Melun, 1978

Galerie Paul Bruck, Luxembourg, 1979

Musée de Montbrison, 1979

Galerie Valle Orti, Valencia, 1979

Galerie Cabinet des Estampes, Colmar, 1979

Galerie Claude-Jory, Paris, 1979

Galerie de la Société industrielle de Mulhouse, 1979

Galerie de L’Escalier, Bruxelles, 1979

Palais des congrès, Strasbourg, 1979

Musée de Saarbrucken, Allemagne, 1980

Musée du Château, Belfort, 1980

Musée de Belfort, Belfort, 1981

Galerie Kutter, Luxembourg, 1981

Galerie Matarasso, Nice, 1981, 1982

Galerie des Maîtres contemporains, Aix-en-Provence, 1983

Musée Goetz-Boumeester, Villefranche-sur-Mer, 1984

Galerie l’Obsidienne, Paris, 1985

Forum des Arts, Reims, 1985

Galerie Cupillard, Saint-Tropez, 1985

Galerie Jacques Verrière, Lyon, 1986

Palais de l’Europe, Menton, 1986

Crawshaw Gallery, 50 Years of Painting, Londres, 1986

Institut français d’Ecosse, Édimbourg, 1987

Galerie Bailly, Nancy, 1987

Galerie Aittouarès, Paris, 1987, 2001

Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Crawshaw, Londres, 1987

Henri Goetz, Rétrospective, Centre de l’Alliance française, Édimbourg, 1987

Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Michel Reymondin, Genève, 1988

Henri Goetz, Studio Rita Gallé, Milan 1988

Henri Goetz, Rétrospective, Galerie du Cobra, Paris, 1988

Bibliothèque nationale de Paris, 1988

Théâtre de l’Opéra municipal, Nice, 1988

Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Artuel, Paris, 1989

Galerie Bourgoin-Pissaro, Paris, 1989

Henri Goetz, Rétrospective, Galerie Hanin-Nocera, Paris, 1991

Galerie Verdaine, Genève, 1991

Galerie 26, Paris, 1992

Galerie Hanin-Nocera, Goetz-Boumeester, Paris, 1993

Galerie Raphaël Westend, Francfort, 1994

Chambre de commerce et d’industrie de Strasbourg, 1995

La Côte d’Azur et la modernité, 1918-1958, Musée de Nice, Nice, 1997

Galerie Elyette Peyre, Paris, 1999

Galerie Cazeau – Bérodière, Paris, 2001

Années 1935-1960, Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, 2009

Années 1960-1989, Galerie Hambursin-Boisanté, Montpellier, 2009

Hommage à Henri Goetz, Galerie Rémy Bucciali, Colmar, 2009

BIBLIOGRAPHIE (SÉLECTION)

Bibliographie (sélection)

Boumeester-Goetz, dessins et peintures, catalogue d’exposition, Galerie Bonaparte, Paris, 1937

Tableaux de 36 à 48, catalogue d’exposition, Galerie Colette Allendy, Paris, 1949

Jean-Roger, Henri Goetz, Presses Littéraires de France, Paris, 1952

Vercors, Goetz, Le Musée de Poche, Paris, 1958

Goetz, 1952-1961, catalogue d’exposition, Galerie Ariel, Paris, 1961

Pastel, catalogue d’exposition, Galerie Ariel, Paris, 1963

Catalogue Bolaffi d’art moderne, p.176-177, Giulio Bolaffi Editore, Turin, 1966

Goetz, 1952-1966, catalogue d’exposition, Galerie Ariel, Paris, 1966

Henri Goetz, La gravure au carborundum, préface de Joan Miro, éditions Maeght, Paris, 1969

Boumeester-Goetz, catalogue d’exposition, Franska Galleriet, Malmö, 1969

Goetz, catalogue d’exposition, Galerie Otermalm, Stockholm, 1970

Alexandre Galpérine, Goetz, Le Musée de Poche, Paris, 1972

L’Œuvre gravé de Henri Goetz, 1940-1972, textes de C. Tisari, éditions Sonet, Stockholm, 1973

Goetz, gravures, catalogue d’exposition, Galerie San Francisco, Lisbonne, 1973

Henri Goetz, catalogue d’exposition, Galerie L’Arco, Rome, 1973

Henri Goetz-Christine Boumeester, catalogue d’exposition, Galerie Venizia Viva, Venise, 1974

Henri Goetz, 1935-1948, catalogue d’exposition, préface de Michel Eyriey, Galerie Jean-Claude Bellier, Paris, 1975

Henri Goetz, catalogue d’exposition, Galerie Hélène Trintignan, Montpellier, 1975

Henri Goetz, catalogue d’exposition, textes de Luigi Lambertini, Giuseppe Appella, éditions il Messagio, Regio Calabria, 1976

Karl Masrour, L’Œuvre gravé de Goetz, 1940-1977, textes de Oscar Reutersväd, Michel Mélot, Denise Zayan et Henri Goetz, éditions Art Moderne, Paris, 1977

Gérard Xuriguera, Henri Goetz, éditions Lucas, Gandia, 1977

Antonio Urrutia, Gérard Xuriguera, Henri Goetz, Guadalimar, 1978

Henri Goetz, 1948-1978, catalogue d’exposition, texte de Gérald Gassiot-Talabot, éditions Aemmepi, Milan, Galerie Bellechasse, Paris, 1978

Boumeester-Goetz, catalogue d’exposition, Musée Paul-Valéry, Sète, 1978

Karl Masrour, Répertoire de l’œuvre 1935-1980, textes de Bernard Dorival, Jean Guichard-Meili, Gérard Xuriguera, Guy Sautter, Gérald Gassiot-Talabot, Georg W. Költzsch, Michel Mélot et Henri Goetz, La Nuova Foglio editrice, Macerato, 1981

Karl Masrour, Gérald Gassiot-Talabot, Henri Goetz, éditions Lucas, Gandia, 1981

Gérard Xuriguera, Les années cinquante, p. 88-89 éditions Arted, Paris, 1984

Goetz, peintures, papyrus, pastels, dessins, gravures, catalogue d’exposition, Galerie L’Obsidienne, Paris, 1985

Henri Goetz, 50 Years of Painting, catalogue d’exposition, Crawshaw Gallery, Londres, 1986

Catalogue du Musée, textes de Bernard Dorival, Vercors, Michel Mélot, Musée Goetz-Boumeester, citadelle de Villefranche-sur-Mer, 1987

Henri Goetz, huile, pastel, technique-mixte, 1962-1978, catalogue d’exposition, Galerie Aittouarès, Paris, 1987

« Goetz », Revue Poésimage, n° spécial 15-16, textes de J. Guichard-Meili, Serge Brindeau, A. Lagrange, Francis Picabia, Karim Boudjemaa, Jean-Pierre Geay et Henri Goetz. Savigny-le -Temple, 1989

Jean-Pierre Geay, Henri Goetz, entretien avec Henri Goetz, éditions Cercle d’Art, Paris, 1989

Henri Goetz et Jean-Pierre Geay, Livres et manuscrits, éditions Fédération des Œuvres Laïques de l’Ardèche, 1990

John Castegno, European Artists 1800-1990, p. 267 The Scarecrow Press, Londres, 1990

Maurice Rousseau-Leurent, Carborundum engraving. La gravure au carborundum, préface d’Henri Goetz, éditions Galerie Nannini, Villefranche-sur-Mer, 1991

L’Art du XXe siècle, Dictionnaire de peinture et sculpture, p. 327, éditions Larousse, Paris, 1991

Dictionnaire de l’art moderne et contemporain, p. 258, édition Hazan, Paris, 1992

Lydia Harambourg, L’École de Paris 1945-1965, p. 207 à 210, éditions Idées et Calendes, Paris, 1993

Goetz, Rétrospective, 1933-1989, catalogue d’exposition, « Trajectoire d’une œuvre » par Jean-Pierre Geay, Centre culturel d’Issoire, 1993

Jeanne Bucher, Une galerie d’avant-garde 1925 – 1946 de Max Ernst à de Staël, p. 84 et 115, éditions Skira, Paris, 1994

10 ans du Musée Goetz-Boumeester. Hommages aux Amis, catalogue d’exposition, Chapelle Saint-Elme, citadelle de Villefranche-sur-Mer, 1994

Henri Goetz, Rétrospective, 1935-1989, catalogue d’exposition, « Découvrir Henri Goetz » par Jean-Pierre Geay, Chambre de commerce et d’industrie de Strasbourg, éditions Garnier Nocera, Paris, 1995

Pascal le Thovel-Deviot, Petit Dictionnaire des artistes contemporains, p. 106, éditions Bordas, Paris, 1996

Frédéric Nocera, Catalogue raisonné de l’œuvre 1930-1960, extrait du texte de Henri Goetz, Ma vie, mes amis, éditions Garnier Nocera, Paris, 2001