(1930-2002)
Niki de Saint Phalle est une femme artiste franco-américaine autodidacte. S’exprimant sur de multiples supports, elle est à la fois plasticienne, peintre, sculptrice, réalisatrice de films et auteure. Bilingue, Niki de Saint Phalle est un lien essentiel entre les artistes français et les artistes américains de Paris. Niki de Saint Phalle rejoint également le mouvement du Nouveau Réalisme.
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Niki de Saint Phalle (Catherine Marie-Agnés Fal de Saint Phalle) naît à Neuilly-sur-Seine le 29 octobre 1930 d’une mère américaine (Jeanne-Jacqueline Harper), et d’un père français (André Marie Fal de Saint-Phalle). Niki de Saint Phalle grandit à New York et se rend très régulièrement en France pour rendre visite à sa famille. Elle devient mannequin, ses photographies sont publiées dans les magazines Vogue et Life. À 18 ans, elle épouse son ami d’enfance Harry Mathews.
En 1950, Niki de Saint Phalle peint ses premières œuvres pendant que son mari étudie la musique à Harvard. Le couple a son premier enfant en 1951 : Laura. La famille déménage à Paris l’année suivante. Niki de Saint Phalle y étudie le théâtre. La famille passe l’été dans le sud de la France, en Espagne et en Italie où Niki de Saint Phalle visite les musées et les cathédrales.
En 1953, Niki de Saint Phalle est hospitalisée pour dépression. La peinture l’aidant à affronter sa maladie, elle décide de devenir artiste. Elle raconte : « J’ai commencé à peindre chez les fous… J’y ai découvert l’univers sombre de la folie et sa guérison, j’y ai appris à traduire en peinture mes sentiments, les peurs, la violence, l’espoir et la joie. » Niki de Saint Phalle est donc une artiste autodidacte. Elle se rapproche en cela des artistes de l’Art brut. Elle sera en effet très proche de Jean Dubuffet, théoricien de l’Art brut. À Paris, Niki de Saint Phalle est encouragée dans sa voie par les artistes qu’elle rencontre. La famille déménage à Majorque. Niki et Harry ont leur deuxième enfant en 1955 : Phillip.
La famille rentre ensuite à Paris. Niki de Saint Phalle y rencontre Jean Tinguely, artiste avec lequel elle commence à travailler. Niki de Saint Phalle est également profondément touchée par les œuvres de Paul Klee, Henri Matisse, Pablo Picasso et Henri Rousseau. Elle visite le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris où elle découvre des œuvres de Jasper Johns, Willem de Kooning, Jackson Pollock et Robert Rauschenberg.
En 1960, Niki et Harry se séparent. La femme artiste s’installe alors seule dans son atelier. Certaines des œuvres de Niki de Saint Phalle sont incluses dans une exposition collective au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris. Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely s’installent ensemble et partagent le même atelier.
Au début des années 1960, Niki de Saint Phalle crée ses œuvres Tirs : assemblages de contenants remplis de peinture sur lesquels l’artiste tire à la carabine pour créer des projections sur une toile. Les Tirs rassemblent ainsi l’art pictural et la performance. Niki de Saint Phalle se rapproche des artistes américains vivant à Paris, notamment Robert Rauschenberg, Jasper Johns, Larry Rivers, Shirley Goldfarb et James Metcalf. Elle les fait participer à ses Tirs.
Niki de Saint Phalle travaille également à ses Tirs en compagnie des artistes français Gérard Deschamps et Raymond Hains.
Niki de Saint Phalle s’associe au groupe du Nouveau Réalisme qui rassemble les artistes Arman, Christo,Yves Klein, Jean Tinguely et Jacques de la Villeglé entre autres. Parfaitement bilingue, la femme artiste Niki de Saint Phalle est ainsi le lien privilégié entre les artistes français et les artistes américains vivant à Paris.
La première exposition personnelle de Niki de Saint Phalle est organisée en 1961 à la Galerie J à Paris. Cette année-là, les Tirs sont rendus célèbres grâce à l’émission de l’ORTF En français dans le texte. La journaliste Catherine Gonnard note que Niki de Saint Phalle est « une figure de proue de l’avant-garde à la télévision. » Ses expériences de mannequin l’ont en effet rendue très à l’aise devant les caméras. Le critique d’art Pierre Restany, fondateur du Nouveau Réalisme « se sert de son rapport exceptionnel à l’image pour faire connaître la nouvelle avant-garde (…) notamment lors de la projection en salle d’un document intitulé Un certain art… qui présente James Metcalf, Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle. » Un Tir est ainsi organisé devant les caméras de l’agence américaine United Press International.
Par l’intermédiaire de Marcel Duchamp, Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely rencontrent l’artiste surréaliste Salvador Dalí avec lequel ils se rendent en Espagne.
La même année, Niki de Saint Phalle participe à l’exposition The Art of Assemblage au Museum of Modern Art de New York. En février 1962, Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely visitent la Californie, le Nevada et le Mexique. Les artistes Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle participent à des expositions et à des happenings. De retour en France, le couple s’installe en région parisienne. Niki de Saint Phalle y réalise des sculptures figuratives : des femmes (certaines donnant naissance, d’autres représentent des mariées), mais aussi des dragons et des monstres.
En 1965, inspirée par la grossesse de la femme de l’artiste Larry Rivers : l’actrice Clarice Rivers, Niki de Saint Phalle crée sa première Nana : Gwendoline (Musée Tinguely, Bâle). La sculpture représente une forme archétypale de femme. Le thème se développe, les Nanas deviennent des femmes géantes aux formes rondes dans des positions dansantes.
Pour la première exposition de Niki de Saint Phalle et de ses Nanas, en septembre 1966 à la Galerie Iolas à Paris, la femme artiste publie son premier livre.
La même année, les Nanas sont intégrées dans un ballet de Roland Petit intitulé Éloge de la folie. Ce ballet présenté au théâtre des Champs-Élysées à Paris est un triomphe. On y voit des Nanas sur tiges tenues par des danseurs, mais aussi des décors de Niki de Saint Phalle, de Jean Tinguely et de Martial Raysse.
L’année suivante, Niki de Saint Phalle crée une Nana monumentale pour le Moderna Museet de Stockholm. Cette Nana couchée mesure 28 m de long, 9 m de large et 6 m de haut. Elle est titrée Hon (« Elle » en suédois). Les spectateurs peuvent entrer à l’intérieur de la sculpture grâce à une entrée placée entre ses jambes. La pièce, à la symbolique forte, attire l’attention. Cette première réalisation monumentale conforte la volonté de Niki de Saint Phalle de créer son jardin de sculptures.
En 1971, Niki de Saint Phalle reçoit sa première commande d’architecture : une maison dans le sud de la France. Niki de Saint Phalle voyage ensuite en Inde et en Égypte. Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely se marient cette année-là.
En 1972, Niki de Saint Phalle reçoit une deuxième commande d’architecture privée. Pour ce projet en Belgique, elle s’associe avec l’atelier Haligon. Ils travailleront ensemble par la suite pour des projets de grandes sculptures comme pour des éditions.
En 1999, Niki de Saint Phalle commence à travailler sur la décoration de la Grotte qui se trouve dans les Jardins royaux de Herrenhäuser de Hanovre. La Grotte est composée de trois salles ornées de mosaïques de miroirs blancs et dorés, de morceaux de verre bleus et noirs, de galets multicolores et de verreries rouges, jaunes et orange. Toutes les mosaïques sont recouvertes de figurines sur le thème de La Vie de l’Homme.
La passion de Niki de Saint Phalle pour la sculpture monumentale illustre son désir de dépasser le cadre restreint du musée pour créer des œuvres à la portée de tous.
Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely travaillent ensemble sur Le Paradis Fantastique : une commande du Pavillon français pour l’Exposition universelle de 1967 de Montréal. Cette œuvre est constituée de neuf sculptures monumentales de Niki de Saint Phalle, de six sculptures animées et de six machines de Jean Tinguely. Dans cette installation, les œuvres des deux artistes sont « en compétition » et s’affrontent dans une mise en scène. Pendant la réalisation de ces sculptures, Niki de Saint Phalle s’expose à des gaz toxiques provenant du polystyrène chauffé. Les dégâts provoqués aux poumons lui créeront des problèmes de santé récurrents. En 1971, Le Paradis Fantastique est transféré au Moderna Museet de Stockholm car directement inspirée de l’œuvre Hon.
En 1973, Niki de Saint Phalle reçoit une commande de sculpture monumentale pour le Rabinovitch Park de Jérusalem. Elle l’intitule Golem. Cette œuvre destinée aux enfants est un monstre fantastique dont les langues sont des toboggans.
En 1974, Niki de Saint Phalle crée trois Nanas monumentales pour la ville de Hanovre en Allemagne. Les habitants de la ville les surnomment Sophie, Charlotte et Caroline en hommage à trois figures historiques de la ville.
En 1982, Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely travaillent ensemble à un projet de fontaine pour le Centre Georges Pompidou à Paris. L’œuvre est nommée Fontaine Stravinsky en hommage au compositeur russe. Jean Tinguely décède à Bern en 1991. En son honneur, Niki de Saint Phalle crée ses premières sculptures cinétiques : les Meta-Tinguelys.
L’artiste Niki de Saint Phalle travaille avec l’architecte Mario Botta au projet de l’Arche de Noé de Jérusalem : un parc dans lequel des sculptures animalières sont également des jeux pour enfants. Le parc est ouvert en 2000.
Le dernier projet de sculptures monumentales de Niki de Saint Phalle est le Queen Califia’s Magical Circle : un parc de sculptures situé à Escondido en Californie. Ce parc porte le nom de Califia, guerrière amazone, qui est une figure importante dans la culture californienne. Le parc comprend un labyrinthe et dix grandes sculptures. Pour l’iconographie de ces œuvres, Niki de Saint Phalle s’inspire de la culture amérindienne. Le parc, commencé en 2000, sera inauguré en 2003.
En 1974, Niki de Saint Phalle est hospitalisée en Suisse à cause d’une maladie pulmonaire. C’est là qu’elle retrouve son amie la collectionneuse Marella Caracciolo Agnelli. Niki de Saint Phalle lui confie son souhait de construire un jardin de sculptures. La famille de son amie lui offre ainsi un terrain à Garavicchio en Toscane.
Niki de Saint Phalle se consacre à la réalisation de son Jardin des Tarots pendant presque vingt ans. Les fondations sont posées en 1978 et la construction des premières sculptures commence en 1980. Niki de Saint Phalle s’associe à l’architecte Mario Botta pour ce projet. La construction du Jardin est financée par la vente d’éditions.
L’ensemble est basé sur les vingt-deux arcanes du jeu de tarot. Terminé en 1993, il est ouvert au public en 1998. Les sculptures sont constituées d’une armature métallique recouverte de béton. Elles sont ensuite décorées de céramiques polychromes, de mosaïques de miroir et de verres. Les plus grandes mesurent quinze mètres de haut et sont de véritables maisons-sculptures.
Pour le Jardin des Tarots, Niki de Saint Phalle s’est inspirée de l’architecte Antoni Gaudí et de ses réalisations : le Parc Güell de Barcelone et le Parco dei Mostri à Bomarzo, ainsi que du Palais idéal du Facteur Cheval, à Hauterives dans la Drôme. Niki de Saint Phalle écrit à Jean Tinguely : « Je te parlais de Gaudí et du Facteur Cheval que je venais de découvrir et dont j’avais fait mes héros : ils représentaient la beauté de l’homme, seul dans sa folie, sans aucun intermédiaire, sans musée, sans galerie. Je te provoquai en te disant que le Facteur Cheval était un bien plus grand sculpteur que toi. ‘Je n’ai jamais entendu parler de cet idiot, dis-tu. Allons le voir tout de suite.’ Tu insistais. C’est ce que nous fîmes et la découverte de ce créateur marginal t’apporta une immense satisfaction. Tu fus séduit par la poésie et le fanatisme de ce petit postier qui avait réalisé son rêve immense et fou ».
L’artiste Niki de Saint Phalle soutient de nombreuses causes. Elle crée notamment des lithographies en 1983 pour soutenir le Musée Temporary Contemporary de Los Angeles. Les bénéfices de ces ventes sont reversés à la recherche pour la lutte contre le sida. Cette cause tient en effet beaucoup à cœur à l’artiste Niki de Saint Phalle. Elle sera toute sa vie impliquée dans la prévention et l’éducation sur ce sujet.
En 1987, en collaboration avec le Dr. Silvio Barandun, Niki de Saint Phalle écrit et illustre l’ouvrage AIDS : You Can’t Catch It Holding Hands. Ce livre est publié dans sept langues différentes.
Niki de Saint Phalle est également une artiste engagée pour les droits des afro-américains. Elle crée en effet une série de sculptures intitulée Black Heroes qui représentent des athlètes et des musiciens comme Miles Davis et Louis Armstrong par exemple.
L’artiste autodidacte Niki de Saint Phalle s’exprime à travers des médias très divers. Par exemple, Niki de Saint Phalle crée en 1972 ses premiers designs pour les bijoutiers GEM Montebello de Milan. Elle tourne également deux films : Daddy en 1974, puis Un rêve plus long que la nuit en 1975. À partir de 1980, Niki de Saint Phalle crée ses premières chaises, des vases et des lampes.
En 1982, Niki de Saint Phalle crée un parfum à son nom dont la fiole est décorée par deux serpents entrelacés. Ce parfum commercialisé par la Jaqueline Cochran Company sert à financer une partie du Jardin des Tarots.
À l’occasion d’une exposition itinérante mondiale de cerfs-volants en 1988, Niki de Saint Phalle crée un immense cerf-volant avec un motif qu’elle avait inventé au milieu des années 1970 : L’Oiseau amoureux.
En 2000, Niki de Saint Phalle reçoit au Japon le prix Praemium Imperial : prix attribué depuis 1989 par la famille impériale du Japon au nom de l’Association japonaise des beaux-arts. Ce prix récompense chaque année des contributions remarquables pour le développement, la promotion et le progrès des arts, et peut être considéré comme l’équivalent du prix Nobel dans ce domaine. En 2001, l’artiste Niki de Saint Phalle fait une donation de 190 œuvres à la Ville de Nice.
Niki de Saint Phalle décède le 21 mai 2002 à La Jolla en Californie. La Niki Charitable Art Foundation s’occupe aujourd’hui de la promotion et de la protection des œuvres de Niki de Saint Phalle.
La Grotte des Jardins royaux de Herrenhäuser de Hanovre est inaugurée en mars 2003, en même temps que l’exposition de la donation Niki de Saint Phalle au Sprengel Museum de la ville de Hanovre dont elle est faite citoyenne d’honneur.
© Galerie Diane de Polignac
Niki de Saint Phalle avec son fusil après avoir tiré sur la toile • Crédits : Gerhard Rauch – Maxppp
Collections (sélection)
Aalborg (Danemark), Kunsten Museum of Modern Art
Amherst, MA, Mead Art Museum at Amherst College
Amsterdam, Stedelijk Museum
Angers, Musée des beaux-arts
Antibes, Musée Picasso
Athènes, Fondation Basil et Elise Goulandris
Baden Baden, Museum Frieder Burda
Bâle, Museum Jean Tinguely
Berne, The Museum of Drawers
Berne, Tiefenau Spital
Bratislava, Danubiana Meulensteen Art Museum
Champaign, IL, Krannert Art Museum at University of Illinois
Charlotte, NC, Bechtler Museum of Modern Art
Chicago, IL, Museum of Contemporary Art
Chicago, IL, Robert B. Mayer Memorial Loan Collection
Chur (Suisse), Würth International AG
Cologne, Collection Ludwig au Wallraf- Richartz Museum
Darmstadt, Hessisches Landesmuseum
Dublin, Hugh Lane Municipal Gallery of Modern Art
Duisburg, Wilhelm Lehmbruck Museum
Dunkerque, Musée d’Art Contemporain
Düren, Museumsverein Leopold-Hoesch-Museum
Evanston, IL, Block Museum of Art, Northwestern University
Flassans-sur-Issole (France), Commanderie de Peyrassol
Fribourg, Espace Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle
Fribourg, Musée d’Art et d’Histoire de la Ville de Fribourg
Genève, Fondation Gandur pour l’Art
Genève, Musée d’Art et d’Histoire de la Ville de Genève
Glasgow, Gallery of Modern Art
Glasgow, McLellan Galleries
Gyeongju (Corée du Sud), Wooyang Museum of Contemporary Art
Hakone (Japon), The Hakone Open-Air Museum
Hanovre, Sprengel Museum
Helsinki, Didrichsen Konststiftelse
Houston, TX, The Menil Collection
Houston, TX, The Museum of Fine Arts
Humlebaek (Danemark), Louisiana Museum of Modern Art
Jérusalem, Jerusalem Foundation
Jérusalem, Israel Museum
Kirishima (Japon), Kirishima Open-Air Museum
Koblenz, Ludwig Museum im Deutschherrenhaus
Kruishoutem (Belgique), Fondation Veranneman
La Jolla, CA, Museum of Contemporary Art
Lausanne, Musée Olympique
Linz (Autriche), Lentos Kunstmuseum
Londres, Tate Gallery
Los Angeles, CA, Frederick R.Weisman Foundation
Ludwigshafen, Wilhelm-Hack-Museum
Mannheim, Städtische Kunsthalle
Marseille, Musée Cantini
Marseille, Musée d’Art contemporain
Martigny, Fondation Pierre Gianadda
Milly-La-Forêt (France), Association Le Cyclop
Minneapolis, MN, Walker Art Center
Mönchengladbach, Städtisches Museum Abteiberg
Naoshima (Japon), Naoshima Contemporary Art Museum, Benesse Art Site
New Haven, CT, Yale University Art Gallery
New Haven, CT, Yale University, The Center For Jewish Life
New Orleans, LA, New Orleans Museum of Art
New Orleans, LA, Virlane Foundation
Buffalo, NY, Albright-Knox Art Gallery
New York, NY, Brooklyn Museum, Brooklyn
New York, NY, Metropolitan Museum of Art (Met)
New York, NY, Whitney Museum of American Art (MoMA)
Nice, Musée d’Art moderne et d’Art montemporain
Nîmes (France), Carré d’Art Musée d’Art contemporain
Osaka, National Museum of Art Osaka
Oslo, Museum Astrup-Fernley
Paris, Fondation Claude Pompidou
Paris, Fonds national d’Art contemporain
Paris, Musée national d’Art moderne – Centre Pompidou
Paris, Musée d’Art moderne de Paris
Paris, Musée des Arts décoratifs
Perth, Art Gallery of Western Australia
Philadelphie, PA, Philadelphia Museum of Art
Philadelphie, PA, University of Pennsylvania
Pittsburgh, PA, Aluminium Company of America
Potsdam, Museum Fluxus+
Princeton, NJ, The Art Museum, Princeton University
Québec, Musée d’Art de Joliette
Rotterdam, Museum Boymans – van Beuningen
San Diego, CA, Mingei International Museum
San Diego, CA, San Diego Museum of Art
São Paulo, Pinacoteca do Estado de São Paulo
Saragosse (Espagne), Fundacion Aragonesa Pilar Citoler
Séoul, Musée national d’Art moderne
Sintra (Portugal), Berardo Collection
St. Gallen (Suisse), Kunstmuseum
Saint Louis, MO, City Garden, Gateway Foundation
Saint Louis, MO, Laumeier Sculpture Park
Stockholm, Moderna Museet
Taichung (Taiwan), Asia Museum of Modern Art
Thessalonique (Grèce), Macedonian Center of Contemporary Art
Tokyo, Setagaya Art Museum
Tokyo, Benesse Corporation, Tama City
Toulon, Musée d’Art
Turku (Finlande), Aboa Vetus & Ars Nova Museum
Ulm (Allemagne), Medical Center, University of Ulm
Ulm (Allemagne), Ulmer Museum
Vienne Museum, Moderner Kunst
Washington D.C., National Museum of Women in the Arts
Washington D.C., Hirshhorn Museum and Sculpture Garden
Washington D.C., National Gallery of Art (previously Corcoran Gallery)
Watari-um (Japon), Watari Museum of Fine Arts
Wattens (Autriche), Swarovski Kristallwelten
Wattwiller, Fondation François Schneider
Réalisations dans les espaces publiques (sélection)
Le Paradis Fantastique, 1967, Moderna Museet, Stockholm, Suède, 1967
Le Cyclope, Milly-la-Forêt, France, 1969-1994
Golem (Mifletzet), Collection City of Jerusalem, Kiryat Hayovel, Rabinovitch Park, Jérusalem, Israël, 1972
Hannover Nanas (Sophie, Charlotte, Caroline), Hanovre, Leibnitz-Ufer, Allemagne, 1973
Le Poète et sa muse, Universität Ulm, Ulm, Allemagne, 1978
Le Jardin des Tarots, 1978 – 1998, Pescia Fiorentina, Capalbio, Provincia de Grossetto, Italie, 1978 – 1998
La Sirène, Commanderie de Peyrassol, Flassans-sur-Issole, France, 1983
Sun God, Stuart Collection, University of California, La Jolla (CA), 1983
La Fontaine Stravinsky, Collection de la Ville de Paris, Paris, 1983
Adam & Eve, Universität Ulm, Ulm, Allemagne, 1985
La Fontaine de Château-Chinon, Collection de la ville de Château-Chinon, France, 1988
Arbre Serpents, Waterfront Park, San Diego (CA), 1988
Le Monde, Collection Kulturforum Würth, France, 1989
Chat de Ricardo, Cimetière du Montparnasse, Paris, France, 1989
Le Grand Oiseau amoureux, Collection Jean Tinguely Museum, Bâle, Suisse, 1989
Oiseau amoureux, Jigyo Central Park, Fukuoka City, Japon, 1990
Fontaine aux Nanas, Asklepios Klinik Harburg, Hambourg, Allemagne, 1991
Grand Oiseau de Feu sur l’Arche, Bechtler Museum of Modern Art, Charlotte (NC), 1991
Arbre serpents, Collection Benesse Corporation, Tama City, Tokyo, Japon, 1992
Le Monstre du Loch Ness, Collection Musée d’Art Contemporain, Nice, France, 1992
La Tempérance, Luxembourg, 1992
Arbre serpents Fontaine, Collection Musée des beaux-arts, Angers, France, 1992
Oiseau Amoureux Fontaine, Collection City of Duisburg, Allemagne, 1993
Les Trois Grâces Fontaine, Collection Kolon Industries,Inc., City of Gwacheon, Corée du Sud, 1995
Nana Dansante (bleue), Sculpture Park at Carmen Würth Forum, Künzelsau, Allemagne, 1995
Noah’s Ark Sculpture Park, Collection The Jerusalem Foundation; Tisch Family Zoological Gardens – The Biblical Zoo, Manahat, Jérusalem, Israël, 1995 – 2000
Black Nana, Collection Kulturforum Würth, France, 1995-2004
Relief, Gallery of Modern Art, Glasgow, Royaume-Uni, 1996
L’Ange Protecteur, Train Station Zürich, Suisse, 1997
Nana on a dolphin, Hafentheater, Landungsbrücken St. Pauli, Hambourg, Allemagne, 1998
Bear, Collection Forum Würth, Rorschach, Suisse, 1998
Dragon, Collection Kulturforum Würth, France, 1998
Oiseau pour Jean-Jacques, Cimetière du Montparnasse, Paris, France, 1998
Le Poète et sa muse, Collection of Mingei International Museum, San Diego (CA), 1998
Miles Davis, Hôtel Negresco, Nice, France, 1999
Ricardo Cat, Collection Laumeier Sculpture Park, St. Louis (MO), 1999
# 19 Baseball Player, 1999, Waterfront Park, San Diego (CA), 1999
Large Seal, 1999, Waterfront Park, San Diego (CA), 1999
Nana Mosaïque Noire, Collection Tarot Garden Foundation, Italie, c.1999
Grotto, Herrenhäuser Gärten, Hanovre, Allemagne, 1999 – 2003
Big Nana Blue, Hafentheater, Landungsbrücken St. Pauli, Hambourg, Allemagne, 2000
Large Bull Totem, Collection Forum Würth, Rorschach, Suisse, 2000
Buddha, Yorkshire Sculpture Park, Wakefield (Yorkshire), 2000
Pizza Oven, Restaurant Barbarella, La Jolla (CA), 2000
Nikigator, Collection Forum Würth, Rorschach, Suisse, 2001
Grande Step Totem, California Center for the Arts, Escondido (CA), 2001
Coming Together, San Diego Convention Center, San Diego (CA), 2001
Nikigator, Collection of Mingei International Museum, San Diego (CA), 2001
Queen Califia’s Magical Circle, Iris Sankey Arboretum, Escondido (CA), 2003
Expositions (sélection)
Niki Mathews New York Gemälde, Gouachen, Galerie Restaurant Gotthard, St. Gallen (Suisse), 1956
Salon Comparaisons : Peinture Sculpture, Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, Paris, 1961, 1962
Feu à Volonté, Galerie J., Paris, 1961
Niki de Saint Phalle, Køpcke Gallery, Copenhague, 1961
Action de tir, Everett Ellin Gallery, Los Angeles, (CA), 1962
Séance de Tirs, Malibu Hills, Malibu, (CA), 1962
Niki de Saint Phalle, Galerie Rive Droite, Paris, 1962
Niki de Saint Phalle, Alexander Iolas Gallery, New York (NY), 1962, 1965, 1966, 1967
The Dwan Gallery, Los Angeles (CA), 1963, 1964
Galerie Alexandre Iolas, Genève, 1964, 1969
Niki de Saint Phalle, Palais des Beaux-Arts, Galerie Aujourd’hui, Bruxelles, 1964
Galerie Alexandre Iolas, Paris, 1965, 1968, 1972, 1974
Niki de Saint Phalle : Les Nanas au pouvoir, Stedelijk Museum, Amsterdam, 1967
Gimpel & Hanover Galerie, Zurich, 1968, 1971
Niki de Saint Phalle, Hanover Gallery, Londres, 1968, 1969
Niki de Saint Phalle : Werke 1962-1968, Kunstverein für die Rheinlande Westfalen, Düsseldorf, 1968
Niki de Saint Phalle, Kunstmuseum, Lucerne (Suisse), 1969
Galerie Seriaal, Amsterdam. 1969, 1971
Les Nanas, Pavillon Baltard, les Halles, Paris, 1970
Niki de Saint Phalle : Nana Power, La Hune, Paris, 1970
Niki de Saint Phalle : Serigraphien und kleine Skulpturen, Kammerkunsthalle, Berne, 1971
Niki de Saint Phalle : Nana Power polykroma skulpturer, Svensk-Franska Konstgallerier, Stockholm, 1971
Galerie Bonnier, Genève, 1972, 1976, 1981, 1987, 1993, 1998
Gimpel Fils, Londres, 1972, 1982, 1985, 1988, 1991, 2000
Niki de Saint Phalle, Festival d’Arles, Monastère de Saint-Trophime, Arles, 1975
Gimpel & Weitzenhoffer Gallery, New York (NY), 1975, 1977, 1979, 1982, 1985, 1990
Beelden, modellen en maquettes van Niki de Saint Phalle, Museum Boymans-van Beuningen, Rotterdam, 1976
Niki de Saint Phalles sculpturer, Nordjyllands Kunstmuseum, Aalborg (Danemark), 1976
Niki de Saint Phalle, Watari Gallery, Tokyo, 1979, 1982
Niki de Saint Phalle : Objekte-Grafiken, Bawag Fondation, Vienne, 1980
Ulm Museum, Ulm (Allemagne), 1980, 1999
L’exposition rétrospective de Niki de Saint Phalle, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris, 1980
Niki de Saint Phalle : Retrospektive 1954-1960, Nuremberg Kunsthalle, Nuremberg, 1980
Niki de Saint Phalle : Retrospektive 1954-1960, Haus am Waldsee, Berlin, 1980
Niki de Saint Phalle : Retrospektive 1954-1960, Hanover Kunstmuseum, Hanovre, 1980
L’exposition rétrospective de Niki de Saint Phalle, Moderna Museet, Stockholm, 1980
Niki de Saint Phalle (exposition d’ouverture), Space Niki, Tokyo, 1980
Niki de Saint Phalle, Casino Knokke, Knokke-le-Zoute (Belgique), 1985, 1993
Niki de Saint Phalle : Veistoksja ja reliefejä / Sculptures and reliefs, Kaj Forsblom Gallery, Helsinki, 1986
Niki de Saint Phalle : Bilder – Figuren – Phantastische Gärten, Kunsthalle der Hypo-Kulturstiftung, Munich, 1987
Fantastic Vision : Works by Niki de Saint Phalle, Nassau County Museum of Art, Roslyn, New York, 1987
Niki de Saint Phalle : Lutte contre le sida, Musée des Arts Décoratifs, Paris, 1990
Niki de Saint Phalle au Château d’Arsac, Château d’Arsac, Margaux (France), 1991
Niki de Saint Phalle : SIDA…Aids, Galerie Reinhausen des Wilhelm Lehmbruck Museums Duisburg, Duisburg, 1992
Niki de Saint Phalle, Kunst- und Ausstellungshalle, Bonn, 1992
Niki de Saint Phalle : L’invitation au musée, P Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris, 1992
Niki de Saint Phalle : Aventure Suisse, Musée de l’Art et de l’Histoire, Fribourg (Suisse), 1993
Les Footballers, Musée Olympique, Lausanne (Suisse), 1993
Niki de Saint Phalle, Dimensions Gallery, Taipei, 1994
Niki de Saint Phalle (exposition d’inauguration), Niki Museum, Nasu (Japon), 1994
Niki de Saint Phalle, Museo Rufino Tamayo, Mexico City. 1995, Exposition itinérante :
Museo de Arte Contemproràneo de Caracas Sofia Imber, Caracas ;
Museo de Arte Moderno, Bogotá ; Fundação Casa França-Brasil, Rio de Janeiro ; Pinacoteca do Estado, São Paulo ; Museo Nacional de Bellas Artes, Buenos Aires ; Sala de Exposiciones Edificio CTC, Santiago de Chile
Niki de Saint Phalle : Graphik und Skulpturen, Kunstkabinett, Regensburg (Allemagne), 1996
Niki de Saint Phalle + Jean Tinguely, Kunst Raum, Bayreuth (Allemagne), 1997
Niki de Saint Phalle : Dear Diary, Kunstverein, Wolfsburg (Allemagne), 1997
Espace Jean Tinguely – Niki de Saint Phalle, Fribourg (Suisse), 1999, 2006, 2011, 2015, 2018
Baseball Player & Basketball Player, San Diego Hall of Champions, Balboa Park, San Diego (CA), 1999
Louis Armstrong and Miles Davis, East County Cultural Zone, El Cajon (CA), 2000
La Fête. Die Schenkung Niki de Saint Phalle. Werke aus den Jahren 1952-200, Sprengel Museum, Hanovre (Allemagne), 2000. Exposition itinérante : Museum Jean Tinguely, Bâle
Niki de Saint Phalle : Les dieux de la musique et du sport, Écuries Saint-Hugues de Cluny, Cluny (France), 2001
Niki de Saint Phalle : La vie joyeuse des objets, Musée de la publicité, Union des Arts Décoratifs, Paris, 2001
Niki de Saint Phalle : La donation, Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain, Nice, 2002
Les Niki de Saint Phalle, Musée Mandet, Riom (France), 2002
Niki de Saint Phalle : Siebdrucke und Lithographien 1968 – 2001, Schloss Landestrost, Neustadt am Rübengebirge (Allemagne), 2002
Sprengel Museum, Hanovre (Allemagne), 2002, 2003, 2005, 2006, 2016
Niki de Saint Phalle, Ernst Múzeum, Budapest (Hongrie), 2003
Niki de Saint Phalle, National Museum, Cracovie (Pologne), 2003
Homage to Niki de Saint Phalle, Caretta Shiodome, Tokyo, 2003
Zoo Exquis : L’arche Fantastique de Niki de Saint Phalle, Église de Pontgivart. Champs Libres, Auménancourt (France), 2003
California Center for the Arts Escondido Museum, Escondido (CA), 2004, 2005, 2018
Niki de Saint Phalle, des assemblages aux œuvres monumentales, Musée des Beaux-Arts, Angers (France), 2004
Niki de Saint Phalle – Early works & prints from the collection of the MAMAC, Nice, Kunsthalle Nürnberg, Nuremberg (Allemagne), 2004
Nana Power : Die Frauen der Niki de Saint Phalle, Schloss Neuhardenberg, Berlin, 2005
Niki de Saint Phalle : Retrospective, Daimaru Museum, Umeda (Japon), 2006, Exposition itinérante : Daimaru Museum, Tokyo ; Nagoya City Art Museum, Nagoya City ; Fukui City Art Museum, Fukui City
Niki in the Garden : The Extraordinary Sculptures of Niki de Saint Phalle, Atlanta Botanical Garden, Atlanta (GA), 2006, Exposition itinérante : Garfield Park Conservatory, Chicago (IL) ; Missouri Botanical Garden, St. Louis (MO)
Niki de Saint Phalle : Vive l’amour ! Palais Bénédictine, Fécamp (France), 2006
Dreams of Midsummer : Works of Niki de Saint Phalle, Macao Museum of Art, Macao (Chine), 2006. Exposition itinérante : Korean National Museum of Contemporary Arts, Séoul ; National Museum of History, Taipei, Taiwan ; National Taiwan Museum of Fine Arts, Taichung, Taiwan
Niki de Saint Phalle, Tate Liverpool, Liverpool, 2008
Hommage à Niki de Saint Phalle. Le Jardin des Tarots, La Coupole, Paris, 2008
Les boîtes à secrets de Niki, Musée en Herbe, Paris, 2008
Niki de Saint Phalle : Joie de Vivre – Alegria de Viver, Fundação Eugénio de Almeida, Évora (Portugal), 2009. Exposition itinérante : Palazzo dell’Abbondanza, Massa Marittima (Italie) ; Castello Aldobrandesco di Arcidosso, Amiata (Italie) ; Fortezza Orsini, Sorano (Italie) ; Fundació Julià Reig, Musée du tabac, Andorra la Vella, Andorra
Niki de Saint Phalle, Schleswig-Holsteinisches Landesmuseum Schloss Gottorf. Gottorf (Allemagne), 2009
Niki de Saint Phalle : Mythen – Märchen – Träume, Kulturforum Würth, Chur (Suisse), 2009
Niki de Saint Phalle, Kunsthandlung Osper, Cologne (Allemagne), 2009
Sculpture Project : Niki de Saint Phalle, National Museum of Women in the Arts, Washington D.C, 2010
Bechtler Museum of Modern Art, Charlotte (NC), 2011, 2014
Niki de Saint Phalle, Kunsthalle Würth, Schwäbisch-Hall (Allemagne), 2011. Exposition itinérante : Max Ernst Museum, Brühl (Allemagne)
Niki de Saint Phalle : The Girl, the Monster and the Goddess, Moderna Museet, Malmö (Suède), 2012. Exposition itinérante : Moderna Museet, Stockholm
Niki de Saint Phalle, Le Grand Palais, Paris, 2014. Exposition itinérante : Muséo Guggenheim, Bilbao (Espagne)
Le Jardin de Tarots Niki de Saint Phalle. Exposition photographique, Le Palais Idéal du Facteur Cheval, Hauterives (France), 2014
La Cabeza, Le Cent Quatre, Paris, 2014
Niki de Saint Phalle, Museum Jan van der Togt, Amstelveen (Pays-Bas), 2015
Niki de Saint Phalle, National Art Center, Tokyo, 2015
At Last I Found the Treasure. Niki de Saint Phalle and the theatre, Kunst- und Kulturstiftung Opelvillen, Rüsselsheim (Allemagne), 2016
Ich bin eine Kämpferin. Frauenbilder der Niki de Saint Phalle, Museum Ostwall, Dortmund (Allemagne), 2016
Niki de Saint Phalle : Von den Nanas zum Tarotgarten, Herbert Gerisch-Stiftung, Neumünster (Allemagne), 2017
Niki de Saint Phalle, Museo Ettore Fico, Torino (Italie), 2017
Niki de Saint Phalle : works from the Masuda collection, Hangaram Art Museum, Seoul, 2018
HON : Niki de Saint Phalle & Shen Yuan, Power Station of Art, Shanghai, 2018. Exposition itinérante : Today Art Museum, Pékin
Amour, une histoire des Manières d’aimer, Musée du Louvre-Lens, Lens (France), 2018
Bibliographie (sélection)
Pierre Descargues, Niki de Saint Phalle, Paris, A. Iolas, 1965
Pierre Descargues, Niki de Saint Phalle, les Nanas au pouvoir, Amsterdam, Stedelijk Museum, 1967
Pontus Hultén, Jean Tinguely, une magie plus forte que la mort, Paris, Éditions Le Chemin vert, 1987
Jean-Louis Ferrier, Yann Le Pichon, L’Aventure de l’art au xxe siècle, Paris, Éditions du Chêne-Hachette, 1988
Niki de Saint Phalle, la Donation, Nice, Musée d’art moderne et d’art contemporain de Nice, 2002
Itzhak Goldberg, Françoise Monnin, La Sculpture moderne au musée d’art moderne, Paris, Scala-Centre Georges Pompidou, 2007
Marella Caracciolo Chia, Jill Johnston et Giulio Pietromarchi, Niki de Saint-Phalle et le jardin des tarots, Paris, Hazan, 2010
Collectif, Niki de Saint Phalle, catalogue raisonné, Lausanne, Acatos, 2010
Catherine Francblin, Niki de Saint Phalle, la révolte à l’œuvre, Paris, Hazan, 2013
Collectif Grand Palais, Niki de Saint Phalle, Paris, RMN, 2014, Catalogue établi à l’occasion des expositions au Grand Palais de Paris et au musée Guggenheim (Bilbao) avec la participation de la Niki Charitable Art Foundation de Santee (CA)
Élisabeth Reynaud, Niki de Saint Phalle : Il faut faire saigner la peinture ! Paris, Écriture, 2014
Béatrice Nodé-Langlois, Niki de Saint Phalle au Grand Palais, La Critique parisienne, n°72, Noël 2014
Sur la page FAQ NIKI DE SAINT PHALLE retrouvez l’ensemble des questions et des réponses dédiées à l’artiste peintre d’art moderne Niki de Saint Phalle.