Acrylique et huile sur papier
38 x 46,2 cm
Signé et daté « Schneider 67 » en bas à droite
Dans la seconde partie des années 1960, la couleur devient structurante dans l’œuvre : elle est une composante architecturale dans l’œuvre de Gérard Schneider. La lumière n’émane plus de l’arrière-plan mais elle est évoquée par l’usage de couleurs uniformes, par l’emploi de couleurs complémentaires qui font écho au choc chromatique des Fauves et à ses vibrations de la couleur. C’est le temps du Pop Art aux États-Unis et du Nouveau Réalisme en France, des heures de gloire de la publicité : la couleur franche et vive envahit l’inconscient collectif.