pierre fichet - portrait galerie diane de polignac

Pierre Fichet

(1927-2007)

Pierre Fichet est un peintre abstrait français. Sa peinture est gestuelle et spontanée. Ayant installé son atelier au fameux Bateau-Lavoir, Pierre Fichet s’inscrit dans la lignée des grands peintres de la scène artistique parisienne.

Œuvres

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Sans titre  – 2002

Huile sur toile
97 x 162 cm
Signé «P. Fichet» en bas à gauche
Signé et annoté «P. Fichet 22-02» au dos

pierre fichet - peinture sans titre 2002

Sans titre  – 2002

Huile sur toile
100 x 81 cm
Signé «P. Fichet» en bas à gauche
Signé «P. Fichet» et numéroté «702» au dos

Sans titre  – 2004

Huile sur toile
130 x 162 cm
Signé «P. Fichet» en bas à gauche
Signé et annoté «P. Fichet 8.04» au dos

Expositions

Jeunesse et formation du peintre Pierre Fichet

Pierre Fichet nait à Paris le 10 août 1927 de parents chapeliers et collectionneurs. Très jeune, il se passionne pour la peinture, puis suit des cours de peinture à l’âge de 14 ans auprès du peintre néo-impressionniste italien Dominique Aldighieri, un ami de la famille. Ce dernier le forme à la peinture de paysage sur le motif. Pierre Fichet poursuit ses études au Lycée Condorcet à Paris et bénéficie ensuite des cours de dessins dans un atelier privé parisien.

La peinture abstraite de l’artiste Pierre Fichet

Pierre Fichet adopte définitivement la peinture abstraite en 1952, nourrie d’inspiration religieuse. En effet, élevé par des parents athées, Pierre Fichet se convertit au catholicisme dans sa jeunesse. Ses toiles abstraites portent ainsi des titres religieux (Moines de Zurbaran, Voile de Véronique…) jusqu’à la fin des années 1950. Puis, Fichet cesse de titrer ses œuvres. Les titres reviendront dans les années 1980 pour les grandes toiles. Influencé par sa foi, il entame en 1964 un travail d’étude sur le thème du Chemin de Croix. Il reprend ce projet en 2006 à la fin de sa vie, créant un ensemble de 14 huiles sur toile (65 x 54 cm chacune). Ce véritable testament pictural est exposé pour la première fois en 2008, après le décès de l’artiste, à l’abbatiale d’Essômes-sur-Marne.

L’œuvre multiple de Pierre Fichet

Dans les années 1960, Pierre Fichet réalise des décors de scène : pour Le Roi Lear de William Shakespeare, pour la compagnie du Grenier de Toulouse en 1966 et pour le ballet Espace au théâtre du Capitole de Toulouse en 1968.

Des projets monumentaux sont également à souligner : un ensemble de peintures sur 18 mètres de murs pour l’Hôpital Saint-Antoine à Paris en 1965 et une mosaïque de 50 mètres de long pour le Lycée technique d’Auch en 1968. Ces deux projets lui sont commandés dans le cadre du 1% artistique (mesure qui consiste à réserver, à l’occasion de la construction ou de l’extension de bâtiments publics, une somme permettant la réalisation d’une ou plusieurs œuvres d’art spécialement conçues pour le lieu).

En 1965, le critique d’art Michel Ragon crée le Groupe international d’architecture prospective (GIAP) : une association d’intellectuels préoccupés par les recherches sur l’architecture et l’urbanisme. L’association rassemble les architectes Yona Friedman, Paul Maymont, Jean- Claude Bernard, Pascal Haüsermann, Claude Costy, Jean- Louis Chanéac, Manfredi Nicoletti, Édouard Utudjian, René Sarger, Biro & Fernier et Guy Rottier ; les cinéastes Jacques Caumont, Jean Herman et Jacques Polieri et les artistes Pierre Székely, Victor Vasarely, James Guitet, Mathias Goeritz et Nicolas Schöffer. À la demande de Michel Ragon, Pierre Fichet devient un « membre observateur » de ce groupe.

Le Bateau-Lavoir

Pierre Fichet installe son atelier au Bateau-Lavoir en 1981, qu’il partage pendant un an avec son ami le peintre Claude Georges. Le Bateau-Lavoir est un lieu de travail et de résidence pour artistes situé dans le quartier de Montmartre, au 13-13 bis place Émile- Goudeau à Paris. C’est en 1889 que le propriétaire de cette maison la fait transformer en ateliers d’artistes. La maison est alors compartimentée en une vingtaine de petits logements d’une pièce chacun, agrémentés de verrières. Ces studios sont répartis de chaque côté d’un couloir rappelant les coursives d’un paquebot, ce qui serait à l’origine du nom de « Bateau ». L’artiste Max Jacob, qui s’y installe en 1907, aurait ajouté « Lavoir » par ironie, le lieu étant particulièrement vétuste. La maison ne comportait en effet qu’un seul point d’eau pour 25 locataires. Ce dénuement va avoir un impact sur les œuvres des artistes qui y résident : Max Jacob utilise le noir de fumée de sa lampe à pétrole ou de la poussière pour ses œuvres. En 1912, Picasso y réalise son premier collage en greffant un peu de toile cirée sur une de ses peintures. Des artistes du monde entier vont s’y succéder : Kees van Dongen en 1905, Juan Gris en 1906, Constantin Brâncusi, Amedeo Modigliani, Max Jacob en 1907 et Diego Rivera en 1908 pour ne citer qu’eux. Le Bateau-Lavoir est donc un lieu mythique de la vie artistique parisienne.

La reconnaissance du peintre Pierre Fichet

Pierre Fichet présente ses œuvres au public pour la première fois en 1948, en participant au Salon des Indépendants. Il y participera jusqu’en 1954. Pierre Fichet prend part également au Salon des réalités nouvelles en 1952 et plus tard au Salon d’Automne en 1986, 1989 et 1991.

Le peintre bénéficie de sa première exposition personnelle en 1952 à la Maison des beaux-arts de Paris. Il raconte ce moment : « En 1952… on comptait environ trois ou quatre galeries parisiennes acceptant d’exposer des œuvres de peintres abstraits. Toutes les autres, fort nombreuses, refusaient ces galeux que dans le meilleur des cas, on qualifiait de “décorateurs”. Cette haine nous apportait un avantage : celui qui voyait dans la profession de peintre un moyen de faire carrière et de s’enrichir en vendant ses œuvres, renonçait à être abstrait. Vers la fin des années 1950, lorsque l’abstraction sera plus respectée, sinon plus aimée, et que certaines vedettes de cet art auront Rolls, somptueuses maisons de campagne et grand train de vie, on verra une foule de peintres se convertir ; il en est toujours ainsi je crois, mais à l’époque, il fallait y croire pour persister. » (1)

L’artiste Pierre Fichet est très vite apprécié des galeristes et des critiques. Il est présenté de nombreuses fois à la Galerie Arnaud entre 1954 et 1969 et devient ainsi naturellement très proche des autres artistes de la galerie. Le libraire Jean-Robert Arnaud ouvre sa galerie en 1951 au 34 rue du Four. Il est tout de suite épaulé par les artistes américains John Koenig, Jack Youngerman et Ellsworth Kelly, tous les trois bénéficiaires de la GI Bill qui leur permettaient de travailler à Paris.

Jean-Robert Arnaud devient alors un défenseur important de l’Abstraction lyrique. Il représente le peintre Pierre Fichet mais aussi Huguette Arthur Bertrand, Albert Bitran, James Guitet et Gérard Schneider par exemple. Jean-Robert Arnaud fonde la célèbre revue Cimaise en 1952 qui défend les artistes abstraits, avec le soutien des critiques d’art Michel Ragon et Pierre Restany parmi d’autres.

Pierre Fichet sera également défendu par les galeries Protée (Toulouse et Paris) et la Galerie Olivier Nouvellet. Pierre Fichet bénéficie de sa première exposition à l’étranger en 1955, à la Galerie Saint-Laurent à Bruxelles. En 1959, Pierre Fichet participe à la première Biennale de Paris, inaugurée par André Malraux, ministre de la Culture, au Musée d’art moderne.

L’historienne de l’art Herta Wescher écrit en 1957 dans la revue Cimaise à propos de Pierre Fichet : « L’acte de peindre équivaut pour lui à un culte religieux, et c’est dans la méditation que naissent ses visions picturales. Les sujets bibliques qui prédominaient dans sa peinture figurative du début, revivent dans les compositions abstraites d’aujourd’hui ; libérés des dogmes iconographiques traditionnels, leur sens mystique se diffuse dans les subtils reflets de lumière, dans l’étrange rayonnement des couleurs ». L’année suivante, toujours dans la revue Cimaise, c’est au tour de Pierre Restany d’écrire : « …Une liberté accrue du geste et une imagination lyrique de l’étendue picturale… L’intégration rythmique est achevée, l’espace aménagé dans sa totalité. L’art de Fichet, échappant aux découpages systématiques et aux effets de plans successifs, y gagne en intensité et en profondeur. »

Pierre Fichet sera également soutenu par les critiques Geneviève Bonnefoi, Georges Boudaille, Pierre Cabanne, Michel Seuphor, Gérard Xuriguera, Patrick-Gilles Persin et Lydia Harambourg.

(1) Pierre Fichet, Gérard Xuriguera, Les années 1950. Peintures. Sculptures. Témoignages., Arted-Éditions d’art, Paris, 1984. 

Pierre Fichet participe à plusieurs expositions muséales : Dix-neuf peintres français, à la Kunsthalle de Mannheim en 1955 ; De la rive droite à la rive gauche au Musée de Verviers en 1962 ; Promesses tenues au Musée Galliera à Paris en 1965 ; puis Une aventure de l’art abstrait dans ce même musée en 1967 ; L’envolée lyrique – Paris, 1945-1946 au Musée du Luxembourg à Paris en 2006 ; Peintres abstraits des années 1950 aux Abattoirs de Toulouse en 2007.

Les œuvres de Pierre Fichet intègrent les collections publiques : le Centre national des arts plastiques à Paris, le Musée d’arts de Nantes, le Musée d’Art moderne de Paris, le Frac Normandie à Caen et les Abattoirs à Toulouse.

Pierre Fichet décède le 8 janvier 2007 à Poissy.

© Galerie Diane de Polignac / Mathilde Gubanski

pierre fichet - portrait photographie

COLLECTIONS (SÉLECTION)

Collections (sélection)

Brest, Musée des beaux-arts 

Caen, FRAC Normandie 

Lille, Palais des beaux-arts 

Nantes, Musée des beaux-arts 

Paris, Musée d’art moderne de Paris 

Paris, Mobilier national, tapisserie de la Manufacture de Beauvais 

Paris, Musée national d’art moderne 

Rouen, Fonds régional d’art contemporain 

Taiwan, National Taiwan Museum of Fine Arts 

Toulouse, Musée des Augustins 

ŒUVRES MONUMENTALES

Œuvres monumentales

Auch, Lycée technique, mosaïque 

Blois, Lycée de Blois, sculpture monumentale 

Paris, Hôpital Saint-Antoine, fresque murale de l’amphithéâtre 

DÉCORS

Décors

Le Roi Lear, William Shakespeare, Grenier de Toulouse, 1966 

Ballet Espaces, Festival Messidor, Toulouse, 1969 

EXPOSITIONS (SÉLECTION)

Expositions (sélection)

Expositions personnelles 

Maison des beaux-arts, Paris, France, 1952 

Galerie Arnaud, Paris, France, 1954, 1955, 1956, 1958, 1959, 1969, 1963, 1965, 1967, 1969 

Galerie Saint-Laurent, Bruxelles, Belgique, 1955 

Galerie de la Citadelle, Ascona, Suisse, 1956 

Galerie L’Atelier, Toulouse, France, 1965, 1968 

Galerie Alice Julliard, Versailles, France, 1965, 1966 

Galerie Protée, Toulouse, France, 1971, 1973, 1978, 1985 

Château du Tremblay, Fontenoy, France, 1971 

Galerie Regard, Paris, France, 1976, 1978, 1980 

Galerie Convergence, Nantes, France, 1978, 1981 

Galerie Gilles Corbeil, Montréal, Canada, 1978 

Galerie Candela, Cannes, France, 1979 

Maison de la culture, Chelles, France, 1981 

Galerie Protée, Paris, France, 1982, 1985, 1988, 1990, 2001, 2005 

Galerie Arts et lettres, Saint-Nazaire, France, 1985 

Galerie Bellecour, Lyon, France, 1986 

Galerie Olivier Nouvellet, Paris, France, 1987, 1993, 1996, 1998, 2000, 2010 

Hommage, Galerie Olivier Nouvellet, Salon d’automne, Paris, France, 1987 

Abstraction : expressions – confrontation 1950 – 1970, Galerie Bernard Davignon, Paris, France, 1988 

Galerie du Manoir, La Chaux-de-Fonds, Suisse, 1988, 1996 

Galerie Stenbock Fermor, Gand, Belgique, 1989 

Städtisches Museum, Saarlouis, Allemagne, 1990 

Galerie Morone, Milan, Italie, 1991 

Pyramide Pernod, Créteil, France, 1991 

Galerie Point Rouge, Paris, France, 1991, 1992 

Galerie Le Navire, Brest, France, 1991 

Galerie Van der Planten, Anvers, Belgique, 1992

Galerie du Manoir, Lausanne, Suisse, 1995 

Pierre Fichet – Chemin de croix, Abbaye Saint Ferréol, Essômes-sur-Marne, France, 2008 

Maison des Princes, Pérouges, France, 2009 

Galerie Bertrand Trocmez, Clermont-Ferrand, France, 2011 

Prieuré d’Airaines, France, 2014

 

Expositions collectives 

Salon des indépendants, Paris, France, de 1948 à 1954 

Salon des réalités nouvelles, Paris, France, à partir de 1952 

Groupe Divergence, Galerie Arnaud, Paris, France, 1954, 1955, 1956, 1957, 1958 

Éloge du petit format, Galerie La Roue, Paris, France, 1955 

Dix-neuf peintres français, Kunsthalle, Mannheim, Allemagne, 1955 

Cinquante ans de peinture abstraite (présentation de Michel Seuphor), Galerie Creuze, Paris, France, 1957 

Drei Maler aus Paris : Pierre Fichet, Michel Carrade, Anna Staritsky, Galerie Parnass, Wuppertal, Allemagne, 1957 

Biennale de Paris, Musée d’art moderne de Paris, France, 1959 

Sens plastique – Aspects de l’art contemporain – Pierre Alechinsky, Frédéric Benrath, Gianni Bertini, Corneille, Pierre Fichet, Pierre Gastaud, Hans Hartung, Ladislas Kijno, Bernard Rancillac, Michel Tyszblat, Université de Caen, France, 1960 

Young French Painters, CAC – Cincinnati Contemporary Arts Center, Cincinnati, OH, États-Unis, 1960 

Exposition du Prix Lissone, Lissone, Italie, 1960, 1963 

De la rive droite à la rive gauche – Mogens Andersen, Martin Barre, Peter Brüning, Jacques Busse, Jean Clerté, Jean Cortot, Pierre Dmitrienko, Joe Downing, Luis Feito, Pierre Fichet, Pierre Gastaud, Jacques Germain, James Guitet, François Jousselin, John-Franklin Koenig, Joseph Lacasse, Pierre-César Lagage, Pierre Lahaut, Key Sato et Léon Zack, Musée de Verviers, France, 1962 

Promesses tenues – Robert Lapoujade, Pierre Fichet, Olivier Debré, Roger-Edgar Gillet, Yasse Tabuchi, Robert Wogensky, Gustave Singier, Kumi Sugaï, Mario Prassinos, Jean Messagier, Paul Rebeyrolle, Musée Galliera, Paris, France, 1965 

Biennale de Menton, France, 1966 

Une aventure de l’art abstrait, Musée Galliera, Paris, France, 1967 

FIAC, Le silence et le cri (Abboud, Benanteur, Bernois-Rigal, James Guitet, Gardair, Pistre, Léon Zack, Jan Meyer, Bengt Lindström, Georges Mathieu, André Marfaing, Orlando Pelayo, Maurice Rocher et Roulin), stand Galerie Protée, Paris, France, 1986 

Salon d’automne, Paris, France, 1986, 1989, 1991 

L’abstraction, présence et permanence – Frédéric Benrath, Olivier Debré, Natalia Dumitresco, Pierre Fichet, James Guitet, Alexandre Istrati, René Laubiès, André Marfaing, Gérard Schneider, Abbaye de Lunan et centre René-Maheu, Toulouse, France, 1979 

FIAC, stand de la Galerie Protée, Paris, France, 1990 

Albert Féraud et Pierre Fichet, Galerie Pluriels, Deauville, France, 1991 

Étoiles de la peinture – Valerio Adami, Pierre Fichet, Jean-Paul Mareschi, Antonio Segui, Giangiacomo Spadari, Maison des Centraliens, Paris, France, 1992 

Lienart Art Fair, Gand, Belgique, 1992 

La nouvelle École de Paris, 1941-1965, Centre d’art contemporain de l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue, Ginals, France, 2002 

L’envolée lyrique – Paris, 1945-1946 – Albert Bitran, Pierre Fichet, Oscar Gauthier, James Guitet, Simon Hantai, Pierre Soulages, Léon Zack, Zao Wou-Ki, Musée du Luxembourg, Paris, France, 2006 

Peintres abstraits des années 1950 – Roger Bissière, Albert Bitran, Jacques Doucet, Pierre Fichet, Serge Poliakoff, Yasse Tabuchi, Les Abattoirs, Toulouse, France, 2007 

Atila Biro, Edward Baran, Olivier Debré, Bertrand Dorny, Natalia Dumitresco, Pierre Fichet, Josep Grau-Garriga, Paul Jenkins, Hachiro Kanno, John-Franklin Koenig, André Lanskoy, Robert Malaval, Anne Walker, Espace d’art contemporain du Salon national des antiquaires, parc des expositions d’Angers, France, 2009 

Albert Féraud et Pierre Fichet, Abbaye de Saint-Florent-le-Vieil, France, 2010 

Huguette Arthur-Bertrand et Pierre Fichet, Galerie Olivier Nouvellet, Paris, France, 2012 

Trentième anniversaire de la galerie : un regard sur l’abstraction lyrique, Galerie Bertrand Trocmez, Clermont-Ferrand, France, 2013 

Regard sur l’abstraction, 1933-1960 – Huguette Arthur-Bertrand, Roger Desserprit, Pierre Fichet, Oscar Gauthier, Jean Hélion, Ivan Kawun, Espace des Établissements Wolfberger (avec la Galerie Bertrand Trocmez), Strasbourg, France, 2014 

St-art 2016, Foire Européenne d’Art Contemporain, Strasbourg événements, Strasbourg, France, 2016 

BIBLIOGRAPHIE (SÉLECTION)

Bibliographie (sélection)

Michel Ragon, L’aventure de l’art abstrait, Paris, Robert Laffont, 1956

Michel Seuphor, Dictionnaire de la peinture abstraite, Paris, Fernand Hazan, 1957

Jacques Massol et Jean-Robert Arnaud, De la rive droite à la rive gauche, coédité par la Galerie Jacques Massol et la Galerie Arnaud, Paris, 1962

Michel Ragon, Vingt-cinq ans d’art vivant, Tournai, Casterman, 1969

Georges Boudaille, Pierre Fichet, Paris, Galerie Arnaud, 1970

René Huyghe et Jean Rudel, L’art et le monde moderne, Paris, Larousse, 1970

Dictionnaire des artistes contemporains, Bruxelles, La Connaissance, 1972

Le Robert, Dictionnaire universel de la peinture, Paris, Dictionnaires Robert, 1975

Gérard Xuriguera, Regard sur la peinture contemporaine, Paris, Arted, 1983

Gérard Xuriguera, Les années 1950. Peintures. Sculptures. Témoignages, Paris, Arted, 1984

Patrick-Gilles Persin, « Pierre Fichet », Cimaise, n°197, novembre-décembre 1988

Martine Arnault, « Pierre Fichet », Cimaise, n°211, avril-mai 1991

Patrick-F. Barrer, L’histoire du Salon d’automne de 1903 à nos jours, Paris, Arts et Images du Monde, 1992

Lydia Harambourg, L’École de Paris, 1945-1965 – Dictionnaire des peintres, Lausanne, Ides et Calendes, 1993

Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Paris, Éditions de l’Amateur, 1993

Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, Paris, Gründ, 1999

Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Paris, Gründ, 2001

Lydia Harambourg, L’École de Paris, 1945-1965 – Dictionnaire des peintres, Lausanne, Ides et Calendes, 1993 (mise à jour de Clotilde Scordia, Ides et Calendes, Neuchâtel, 2010)

Herta Werscher, Pierre Fichet, Clermont-Ferrand, Galerie Bertrand Trocmez, 2011

Patrick-Gilles Persin, Pierre Fichet, Éditions du Prieuré d’Airaines, 2014

BIBLIOPHILIE

Bibliophilie

Pierre Fichet, Le jugement de Pâris, livre d’artiste en sérigraphie, 125 exemplaires numérotés, Paris, Del Arco, 1994 

Pierre Fichet, Les égarements de Monsieur Pythagore, livre d’artiste en sérigraphie, 125 exemplaires numérotés, Paris, Del Arco, 2000