(1896-1986)
La Galerie représente l’Estate de l’artiste Gérard Schneider depuis 2012. La Galerie a accompagné les ayants-droit dans la rédaction du Catalogue raisonné et travaille aujourd’hui en étroite collaboration avec les Archives Gérard Schneider.
Pionnier de l’Abstraction lyrique avec Hans Hartung et Pierre Soulages, Gérard Schneider est une figure essentielle de cette nouvelle abstraction libre et gestuelle qui naît à Paris dans l’immédiat après-guerre.
Pour recevoir des informations sur les œuvres disponibles de Gérard Schneider,
merci de NOUS CONTACTER.
GÉRARD SCHNEIDER
1945-1955
De l’abstraction au lyrisme
EXPOSITION PERSONNELLE
13 SEPTEMBRE – 15 OCTOBRE 2017
GÉRARD SCHNEIDER
EXPOSITION PERSONNELLE
2 JUIN – 31 JUILLET 2014
GÉRARD SCHNEIDER
EXPOSITION PERSONNELLE
22 MAI – 30 JUILLET 2013
GÉRARD SCHNEIDER
Espaces colorés – Œuvres 1970-1978
Publication digitale – Texte de Christian Demare
GÉRARD SCHNEIDER
Lyrisme(s)
Catalogue 72 pages – Textes de Laurence Schneider, Christian Demare & Astrid de Monteverde
LES ANNÉES 1940
Quand les procédés surréalistes permettent l’abstraction
Publication digitale – Textes de Mathilde Gubanski
LES ANNÉES 1970 – 1980
L’EXPLOSION DE LA COULEUR
Publication digitale – Textes de Mathilde Gubanski
GÉRARD SCHNEIDER
La naissance du geste
Œuvres sur papier 1944-1959
Publication digitale – Textes de Mathilde Gubanski
GÉRARD SCHNEIDER
Le geste et la couleur
Œuvres sur papier des années 1960
Publication digitale – Textes d’Astrid de Monteverde & Christian Demare
GÉRARD SCHNEIDER 1945-1955
De l’abstraction au lyrisme
Édité par la Galerie Diane de Polignac
Catalogue d’exposition
Français & anglais – 86 pages – sept. 2017
GÉRARD SCHNEIDER
Édité par la Galerie Diane de Polignac
Catalogue d’exposition
Français & anglais – 96 pages – juin 2014
LYRICAL ABSTRACTION
PARIS 1945-1995
Édité par la Galerie Diane de Polignac et la Jordan National Gallery of Fine Arts
Catalogue d’exposition
Anglais – 21 pages – novembre 2014
« LIBRE,ÉCLATANT ET EXPRESSIF Gérard Schneider, les grands papiers (1983-1985) », une analyse par Mathilde Gubanski
« Gérard Schneider La naissance du geste », une analyse par Christian Demare et Astrid de Monteverde
« Gérard Schneider De l’abstraction au lyrisme 1945-1955 », une analyse par Astrid de Monteverde
Gérard Schneider naît à Sainte-Croix en Suisse en 1896. Il passe son enfance à Neuchâtel où son père exerce l’activité d’ébéniste et d’antiquaire.
À 20 ans, il se rend à Paris pour étudier à l’École nationale des arts décoratifs, puis entre en 1918 à l’École nationale des beaux-arts de Paris dans l’atelier de Fernand Cormon – qui fut professeur entre autres de Vincent van Gogh et Henri de Toulouse-Lautrec.
En 1922, Gérard Schneider se fixe définitivement à Paris. Les années 1920 et 1930 sont un long apprentissage des techniques et de l’histoire de la peinture.
En 1926, l’exposition du peintre Gérard Schneider se déroule pour la première fois au Salon d’Automne. Son envoi, L’Allée hippique, est remarqué. Il fréquente le milieu musical parisien. Gérard Schneider expose cinq toiles dont Figures dans un jardin au Salon des Surindépendants de 1936, œuvres appréciées par le critique de La Revue Moderne : « un style, des figures d’une telle agilité que l’expression du mouvement est comme incluse dans la touche rapide ».
C’est aussi le temps de la découverte des mouvements artistiques de ce siècle de bouleversements et de tragédies.
Au milieu des années 1930, le peintre Gérard Schneider a assimilé la révolution initiée par l’abstraction de Kandinsky, tout en explorant les nouveaux horizons apportés par le surréalisme. Il ne peint plus d’après nature. Sa palette s’assombrit, le noir y prend une place importante et y joue un rôle structurant. Il écrit des poèmes et fréquente le milieu surréaliste : Luis Fernandez, Oscar Dominguez, Paul Éluard et Georges Hugnet.
À partir de 1938 les titres des œuvres de Gérard Schneider ne font plus référence au réel : les trois envois au Salon des Surindépendants s’intitulent Composition. En 1939, il rencontre Picasso. Vers 1944, sa peinture abandonne définitivement toute référence au réel.
En 1945, le Musée national d’Art moderne achète une toile à Gérard Schneider (Composition, 1944).
Dans l’effervescence de l’immédiat après-guerre, l’art de Gérard Schneider joue un rôle pionnier dans la naissance d’une abstraction nouvelle. Celle-ci prend forme et s’impose dans une Europe en reconstruction. À Paris, le peintre Gérard Schneider et d’autres précurseurs proposent un retour à la radicalité de l’abstraction, une abstraction n’ayant plus aucun lien avec le monde réel et perceptible. Une abstraction qui fera date, en totale adéquation avec les impératifs esthétiques de cette époque charnière : on l’appelle l’Abstraction lyrique.
Aux côtés d’artistes comme Jean-Michel Atlan, André Lanskoy, Georges Mathieu et surtout Hans Hartung et Pierre Soulages – avec lesquels il entretient une amitié sincère, Gérard Schneider va très vite voir son œuvre acquérir une dimension internationale. Dès le milieu des années 1940, de grandes expositions regroupant les principaux membres de l’abstraction lyrique vont être organisées à Paris, notamment dans les galeries Lydia Conti et Denise René.
À l’étranger, lors d’importantes expositions itinérantes, le public découvre ce vital élan créatif : à travers l’Allemagne dès la fin des années 1940 : c’est l’exposition Wanderausstellung Französischer Abstrakter Malerei qui circule en RFA entre 1948 et 1949. Les œuvres de Schneider sont exposées immédiatement après aux États-Unis : à la galerie Betty Parsons (en 1949 et 1951) et lors de l’importante exposition itinérante Advancing French Art qui voyage dans tout le pays, de Chicago à San Francisco.
De 1955 à 1961, la Samuel Kootz Gallery à New York devient son marchand exclusif aux États-Unis et son étendard outre-Atlantique. Le peintre Gérard Schneider rejoint ainsi son ami Pierre Soulages au sein de cette prestigieuse galerie.
La Phillips Gallery de Washington achète l’Opus 445 de 1950 et le MoMA de New York acquiert l’Opus 95 B de 1955.
En 1956, Gérard Schneider épouse en secondes noces Loïs Frederick, jeune américaine venue à Paris faire des études d’art grâce à la bourse Fulbright, qu’il rencontre par l’intermédiaire de Marcel Brion. À la même époque, Schneider fait la connaissance d’Eugène Ionesco.
Les expositions s’enchaînent à travers le monde.
Dès le début des années 1950, les œuvres de Gérard Schneider sont exposées en Europe : à Bruxelles par exemple où a lieu une première rétrospective en 1953, puis une seconde en 1962 en partenariat avec la Kunstverein de Düsseldorf. Il participe aussi aux deux premières éditions de la Documenta de Cassel en 1955 et 1959.
Gérard Schneider expose par trois fois à la Biennale de Venise : en 1948, 1954 et en 1966.
Le Prix Lissone lui est remis en 1957.
Son œuvre voyage aussi très régulièrement, au Japon, de 1950 jusqu’au début des années 1970, notamment lors de l’Exposition internationale d’Art. D’ailleurs, à l’occasion de l’Exposition internationale d’Art à Tokyo en 1959, il se voit remettre le prix du Gouverneur de Tokyo.
Le peintre Gérard Schneider participe également à plusieurs reprises à la Biennale de São Paulo : en 1951, en 1953 et 1961. Lors de la Biennale de São Paulo en 1961 et à l’initiative de Jean Cassou, conservateur en chef du Musée national d’art moderne de Paris, Gérard Schneider réalise quatre toiles de 2 x 3 m pour un ensemble de dix œuvres de grand format exposées.
Durant les années 1960, il entretient des liens étroits avec le marchand milanais Bruno Lorenzelli qui lui consacre de nombreuses expositions à travers l’Italie. Cette décennie de changements voit la peinture de Gérard Schneider prendre une direction plus colorée, plus libérée, dans laquelle le geste acquiert une dimension définitivement calligraphique.
Une fois de plus, l’œuvre de Gérard Schneider se renouvelle et se fait écho autant des aspirations esthétiques de son époque que d’un processus intérieur complexe, commencé bien des années auparavant. Une synthèse des notions de forme, de couleur et d’espace.
Lors de la Biennale de Venise de 1966, une salle entière du Pavillon français lui est réservée.
De même, une grande rétrospective lui est consacrée à Turin en 1970, où une centaine tableaux sont exposés à la Galleria Civica d’Arte Moderna. C’est un franc succès, puis l’exposition se poursuit au Pavillon « Terre des Hommes » à Montréal.
À plus de 70 ans, l’art de Gérard Schneider ne s’apaise en rien. La fougue est toujours aussi intense. L’éruption volcanique de la couleur est plus que jamais ardente, comme si son œuvre était destinée à ne jamais s’éteindre.
Les expositions du peintre Gérard Schneider sont toujours aussi nombreuses, comme celles présentées par la galerie Beaubourg à Paris.
Cette fougue, cette énergie nécessitent une rapidité d’exécution que seul le papier semble lui autoriser. Au tournant des années 1980, c’est vers ce support qu’il se tourne presque exclusivement. C’est ainsi que naissent dans l’intimité de son atelier de grandes et lumineuses compositions colorées, gestuelles, enflammées, dont la beauté irréelle nous interroge encore.
Le peintre Gérard Schneider quitte ce monde le 8 juillet 1986 – à l’âge de 90 ans – et nous lègue une œuvre à la fois presque insondable dans sa complexité esthétique et pourtant si proche, si humaine, si sensible.
En 1998, Michel Ragon lui consacre une importante monographie.
La Galerie Diane de Polignac a accompagné Laurence Schneider, fille de l’artiste, dans la création du Catalogue raisonné. Aujourd’hui, les Archives Gérard Schneider continuent ce travail indispensable de recherche afin de tenir à jour ce Catalogue raisonné, outil fondamental pour la connaissance de l’œuvre
© Galerie Diane de Polignac / Astrid de Monteverde
Gérard Schneider à Gordes, 1946
Droits réservés
Gérard Schneider et Pierre Soulages vers 1950
Droits réservés
Eugène Ionesco et Gérard Schneider, Saint-Gall, 1961
Droits réservés
Michel Ragon et Gérard Schneider, années 1960
Droits réservés
Gérard Schneider dans son atelier, 1972
Photographie : André Villers – Droits réservés
Collections (sélection)
Bruxelles, Musée Modern Museum
Buffalo, NY, Albright-Knox Art Gallery
Cologne, Musée Ludwig
Colorado Springs, Co, Fine Art Center
Dunkerque, LAAC
Genève, Fondation Gandur pour l’Art
Jakarta, Museum
Kamakura (Japon), Museum of State
Los Angeles, Ca, University of California
Minneapolis, Mn, Walker Art Center
Nantes, Musée d’Arts
Neuchâtel (Suisse), Musée d’Art et d’Histoire
New Haven, Ct, Yale University
New York, NY, Museum of Modern Art (MoMA)
Oslo, Sonja Henie and Niels Onstad Foundation
Paris, Musée d’Art Moderne de Paris
Paris, Musée national d’Art Moderne – Centre Pompidou
Phoenix, Az, Phoenix Museum
Princeton, Ma, Princeton University
Rome, Galleria d’Arte Moderna
Rio de Janeiro, Museu de Arta Moderna do Rio de Janeiro
Saint-Louis, Mo, Washington University
Séoul, Fine Art museum
Turin, Galleria civica d’Arte Moderna
Washington D.C., The Phillips Collection
Worchester, Ma, Worchester Museum
Zurich, Kunsthaus
Expositions (sélections)
Galerie Denise René, Paris, 1946, 1947, 1948, 1953
Galerie Lydia Conti, Paris, 1947, 1948, 1950
Biennale de Venise, 1948, 1954, 1966
Wanderausstellung Französischer Abstrakter Malerei, exposition collective itinérante en République Fédérale d’Allemagne : Stuttgart, Munich, Düsseldorf, Hanovre, Hambourg, Francfort-sur-le-Main, Fribourg-en-Brisgau, 1948-1949
Betty Parsons Gallery, New York, 1949, 1951
Les grands courants de la peinture contemporaine (de Manet à nos jours), exposition collective itinérante en Amérique du sud, 1949-1950
Advancing French Art, exposition collective itinérante aux États-Unis : Louisville, Bloomington, San Francisco, Chicago et Washington, 1951-1952
Biennale de São Paulo, 1951, 1954, 1961
Galerie Der Spiegel, Cologne, 1952, 1953, 1955, 1957, 1981
Galerie Otto Stangl, Munich, 1952
Exposition Internationale d’Art, exposition collective itinérante au Japon, 1953-1965
Gérard Schneider, rétrospective, Palais des Beaux-Arts, Bruxelles, 1953
Galerie Arnaud, Paris, 1954, 1959, 1965, 1967, 1968, 1970
Documenta de Cassel, 1955, 1959
Kootz Gallery, New York, 1956-1961
Galerie Apollinaire, Milan, 1958
Albright-Knox Art Gallery, Buffalo, NY, 1958, 1959, 1966, 1972
Galerie Lorenzelli, Milan, 1960, 1961, 1965, 1972, 1974, 1986, 1989, 2012
Galerie Minami, Tokyo, 1960
Galerie Nakanoshima, Osaka, 1960
Galerie Im Erker, Saint-Gall, 1961, 1963
Salon de Mai au Japon, Tokyo, Osaka, 1962
Gérard Schneider, rétrospective, exposition itinérante : Kunstverein, Düsseldorf / Palais des Beaux-Arts, Bruxelles, 1962
Paintings in France 1900-1967, exposition collective itinérante aux États-Unis : New York, Boston, Chicago, San Francisco et au Canada, 1968
Gérard Schneider, rétrospective, Galleria civica d’Arte moderna, Turin, 1970 Pavillon Terre des Hommes, Montréal, 1970
Panorama de l’Art contemporain, exposition collective itinérante en Iran, Égypte, Grèce, Turquie, Syrie, Maroc, Algérie, Tunisie, Liban, 1971-1972
Galerie Beaubourg, Paris, 1974, 1975, 1977, 1981, 1986
Rétrospective, Musée d’Art et d’Histoire, Neuchâtel / Musée d’Art Contemporain, Dunkerque, 1983
FIAC, Galerie Patrice Trigano, Paris, 1983 Kunstmesse, Bâle, 1985
L’Europe des grands maîtres, Musée Jacquemart-André, Paris / Musée des beaux-arts, Séoul, 1989
Schneider, rétrospective, Clermont-Ferrand, Carcassonne, Montbéliard, Le Mans, Metz, 1998-2001
L’Envolée lyrique, Paris 1945-1956, Musée du Luxembourg, Paris, 2006
Gérard Schneider, grands gestes pour un grand monde, Musée d’Art & d’Histoire, Neuchâtel, 2011
Les Sujets de l’abstraction, Peinture non- figurative de la Seconde École de Paris (1946-1962), exposition collective, Fondation Gandur pour l’Art, Musée Rath, Genève / Musée Fabre, Montpellier, 2011
Montparnasse/Saint-Germain-des-Prés, un certain regard sur l’abstraction lyrique, exposition collective itinérante : Anciennes écuries des ardoisières, Trélazé, puis Montparnasse/Saint-Germain-des-Prés. Abstractions d’après-guerre, Musée des beaux-arts, Bordeaux, 2012
Gérard Schneider, rétrospective, Musée des Beaux-Arts d’Orléans, 2013
Le Geste et la Matière – Une abstraction « autre » – Paris, 1945-1965, Fondation Clément, Le François, Martinique, 2017
Opus 12 M – 1977
Acrylique sur toile, 89 x 116 cm
Collection particulière, France
Bibliographie (sélection)
Marcel Pobé, Schneider, Paris, Georges Fall, 1959
Michel Ragon, Schneider, Amriswill, Bodensee Verlag, 1961
Marcel Brion, R. V. Gindertael, Schneider, Venise, Al eri, 1967
Gérard Schneider, cat. expo. Turin, Galleria civica d’Arte moderna (16 avr.–24 mai 1970), Turin, Galleria civica d’Arte moderna, 1970
Gérard Schneider, Eugène Ionesco (préf.), Mots au vol, Paris, Éditions Saint-Germain-des- Prés, 1974
Pierre von Allmen (dir.), Jean-Marie Dunoyer, Schneider, cat. expo., Neuchâtel, Musée d’Art et d’Histoire (26 févr.–17 avr. 1983), Neuchâtel, Musée d’Art et d’Histoire de Neuchâtel, 1983
Jean Orizet, Schneider Peintures, Paris, La différence / l’autre musée, 1984 Daniel Chabrissoux, Loïs Frederick, Gérard Schneider : œuvres de 1916 à 1986, cat. expo.,
Lydia Harambourg, L’Ecole De Paris, 1945-1965 : Dictionnaire Des Peintres, Lausanne, Ides et Calendes, 1993
Angers, (1991), Angers, Expressions contemporaines, 1991 Michel Ragon, Schneider, Angers, Expresssions contemporaines, 1998
Patrick-Gilles Persin, L’Envolée lyrique Paris 1945-1956, cat. expo., Paris, Musée du Luxembourg (26 avr.–6 août 2006), Milan, Skira, 2006
Lydia Harambourg, L’École de Paris, 1945-1965 – Dictionnaire des peintres, Lausanne, Ides et Calendes, 1993 (mise à jour de Clotilde Scordia, Ides et Calendes, Neuchâtel, 2010)
Éric de Chassey (dir.), Éveline Notter (dir.), Justine Moeckli et al., Les sujets de l’abstraction. Peinture non- gurative de la seconde École de Paris, 1946-1962. 101 Chefs- d’œuvre de la Fondation Gandur pour l’Art, cat. expo., Genève, Musée Rath (6 mai–14 août 2011) / Montpellier, Musée Favre (3 déc. 2011–25 mars 2012), Milan, 5 continents, 2011
Christian Briend, Nathalie Ernoult, Le Geste et la Matière – Une abstraction « autre » – Paris, 1945-1965, cat. expo., Le François, Martinique, Fondation Clément (22 jan.–16 avr. 2017), Paris / Le François, Centre Pompidou, Paris / Fondation Clément, Le François, Martinique / Somogy éditions d’Art, 2017
Opus 87 B – 1955
Huile sur toile, 130 x 97 cm
Collection particulière, France
Sur la page FAQ GÉRARD SCHNEIDER retrouvez l’ensemble des questions et des réponses dédiées à l’artiste peintre d’art moderne Gérard Schneider.