Gouache et encre de Chine sur papier monté sur carton
52 x 75 cm
Loïs Frederick, en vraie magicienne de la couleur, fait évoluer sa palette au cours des années 1960. Elle s’enrichit de demi-teintes : les roses, les violets, les oranges, les turquoises… Cette grande coloriste mêle avec virtuosité couleurs primaires et couleurs secondaires, tout en continuant de les structurer par l’utilisation de brosses noires. Le geste est plus lent, méditatif. La couleur prend le pas sur la forme. Elle devient à la fois sujet et médium de l’œuvre de Loïs Frederick.