(1928-1962)
Yves Klein est un artiste français célèbre pour son invention de l’IKB (International Klein Blue). De ses monochromes aux anthropométries, en passant par l’emploi du feu et de l’or, Yves Klein a conçu des œuvres qui traversent les frontières de l’art conceptuel et de la performance.
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Yves Klein naît en 1928 à Nice de deux parents artistes : Fred Klein et Marie Raymond, lui peintre figuratif et elle peintre abstraite. La famille fait des allers-retours entre Paris et Nice. Très jeune, Yves Klein commence à travailler dans la librairie de sa tante Rose Raymond à Nice. Il rencontre le futur artiste Arman et le poète Claude Pascal dans son club de judo.
Les parents de Yves Klein fréquentent l’artiste Nicolas de Staël et sa compagne Jeannine Guillou, ainsi que le fils de celle-ci : Antek qui devient un ami d’Yves Klein. La famille Klein rencontre également les artistes du Groupe de Grasse : Alberto Magnelli, Jean Arp, Sophie Taeuber, Sonia et Robert Delaunay.
La première vocation de Yves Klein est le judo. Il se rend au Japon pour parfaire sa formation de judoka et obtenir le prestigieux grade de 4e dan. Cet art martial aura une grande influence sur son œuvre. Yves Klein écrit d’ailleurs Les Fondements du Judo, publié en 1954. Il restera au Japon quinze mois et la vente des tableaux de ses parents à l’institut franco-japonaise l’aideront à financer son voyage.
Yves Klein consacre cinq ans de sa vie, de 1948 à 1953, aux voyages. Il séjourne d’abord en Italie, puis en Angleterre où il travaille chez l’encadreur Robert Savage qui lui enseigne la dorure à la feuille. Ce même encadreur avait organisé une exposition de Fred Klein à Londres en 1946. Yves Klein ira ensuite en Irlande, en Espagne et au Japon. Pendant ces années, Yves Klein se consacre beaucoup au judo.
On retrouve déjà dans ses carnets de voyages des premières œuvres monochromes à la gouache sur papier. Yves Klein les expose dans sa chambre à Londres pour ses amis.
Yves Klein réalise également sa première œuvre musicale : Symphonie Monotone-Silence et écrit plusieurs scénarios pour des films d’art.
À son retour à Paris, Yves Klein fait face à la méfiance de la Fédération française du judo qui refuse d’homologuer son diplôme japonais. Il s’installe alors à Madrid où il y enseigne le judo et devient conseiller technique de la Fédération espagnole du judo. Dans sa salle, il accroche ses peintures monochromes.
À partir de la deuxième moitié des années 1950, Yves Klein se consacre définitivement à l’art. En 1955, le peintre expose ses tableaux monochromes au club des Solitaires, puis l’années suivante à la Galerie d’art Colette Allendy à Paris.
Yves Klein rencontre Marcel Barillon de Murat, chevalier de l’ordre des Archers de Saint-Sébastien à la Galerie Allendy, qui l’invite à rejoindre la Confrérie. Le 11 mars 1956, à l’église Saint-Nicolas-des-Champs à Paris, Yves Klein est fait chevalier. Il choisit la devise :
« Pour la couleur ! Contre la ligne et le dessin ! ».
C’est en 1957 qu’Yves Klein crée son iconique IKB (International Klein Blue) qui caractérise son « Époque Bleu » jusqu’en 1959. Yves Klein présente ces œuvres d’art pour la première fois à l’exposition : Yves Klein, Proposte monocrome, epoca blu à la Galerie Apollinaire à Milan, en janvier 1957.
La même année, l’exposition d’art Yves Klein : Proposition Monochrome est présentée simultanément à la Galerie Iris Clert et à la Galerie Colette Allendy à Paris.
Lors du vernissage à la Galerie Iris Clert, Yves Klein réalise sa première action : Sculpture aérostatique (IMMA 027), un lâcher de 1001 ballons bleus place Saint-Germain-des-Prés.
Yves Klein présente chez Colette Allendy un ensemble d’œuvres comme un prequel de ses futurs développements : sculptures, environnement, bacs de pigment pur, paravent, la première Peinture de Feu Feux de Bengale-Tableau de feu bleu d’une minute (M041) et le premier Immatériel. Une salle au premier étage annonce la suite de l’exposition : « Surfaces et blocs de sensibilité picturales. Intentions picturales » : cette salle est entièrement vide.
Yves Klein réalise un film sur ces deux expositions d’art.
Yves Klein remporte un concours international lancé par la municipalité de Gelsenkirchen en Allemagne en 1957. Il reçoit ainsi une commande de gigantesques panneaux monochromes et un ensemble de Reliefs Éponges. Lors d’une exposition d’inauguration de la Galerie Schmela à Düsseldorf, Yves Klein se lie au groupe d’artistes ZÉRO composé d’Otto Piene et de Heinz Mack.
À cette période, l’artiste Yves Klein cherche à dépasser la conception classique de la création artistique. Il présente des espaces vides et crée des gestes qui ont valeur d’œuvres d’art. L’immatériel devient ainsi objet de transaction. Pendant l’été, Yves Klein fait la rencontre d’une jeune artiste allemande à Nice, Rotraut Uecker. Elle travaille d’abord chez Arman en tant que jeune fille au pair, puis devient l’assistante de Klein et enfin son épouse.
En septembre, Yves Klein signe le manifeste Contro lo stile, Contre le style, The end of style, publié à Milan. Parmi les co-signataires, on compte Arman, Baj, Bemporad, Bertini, Colucci, Dangelo, Manzoni, Arnaldo Pomodoro, Giò Pomodoro, Pierre Restany, Saura, Sordini, Vandercam et Verga.
En avril 1958 à Düsseldorf, est organisée la septième « exposition du soir » organisée par les membres du groupe ZERO, Otto Piene et Heinz Mack. À cette occasion, Yves Klein expose une assiette rouge (M083) et apparaît dans une revue allemande qui publie son texte : « Ma position dans le combat de la ligne et de la couleur ».
Du 28 avril au 12 mai, son exposition personnelle La Spécialisation de la sensibilité à l’état matière première en sensibilité picturale stabilisée est présentée à la Galerie Iris Clert à Paris. C’est une exposition du « vide ». Pour cette exposition, Yves Klein conçoit un carton d’invitation avec le texte de Pierre Restany, un billet d’entrée et une enveloppe timbrée avec un timbre bleu. La vitrine de la galerie est peinte en bleu et l’entrée du bâtiment est décorée d’un auvent recouvert de tissu bleu. Dans la galerie, présentation « d’une ambiance, d’un climat pictural réel et à cause de cela même invisible » (Yves Klein, Le dépassement de la problématique de l’art, 1959) : à cet effet, les murs ont été peints en blanc par Yves Klein. Un film documente l’exposition.
Yves Klein s’approprie de nouveaux territoires artistiques comme les espaces publics : illuminations de l’Obélisque de la place de la Concorde avec l’aide d’EDF, ou encore les médias : édition de Dimanche 27 novembre 1960. Les éléments naturels sont également devenus les matières premières de l’univers et des œuvres d’Yves Klein, comme c’est le cas avec ses peintures de feu par exemple.
Yves Klein pousse sa réflexion sur l’art et invente de nouvelles relations avec ses modèles qui deviennent les « pinceaux » de l’anthropométrie. C’est en juin 1958 que Yves Klein expérimente pour la première fois ses « pinceaux vivants », lors d’une soirée-événement dans l’appartement de son ami Robert Godet, le président de la fédération international du judo, collectionneur d’art contemporain.
Le 30 janvier 1959, lors de l’ouverture du Concert n ° 2 de Jean Tinguely à la Galerie Schmela Düsseldorf, Yves Klein évoque la coopération entre artistes. La manifestation est également célébrée par une fête costumée de trois jours en l’honneur de Tinguely et Klein dans le studio de l’artiste Günther Uecker -le frère de Rotraut, à Düsseldorf. En mars, Yves Klein participe à l’exposition Vision in Motion-Motion in Vision à Hessenhuis à Anvers, la première exposition collective du groupe ZERO. Les commissaires de l’exposition sont Pol Bury, Daniel Spoerri, Jean Tinguely et Paul van Hoeydonck.
Yves Klein et Werner Ruhnau signent un projet de création d’un centre de sensibilité (Schule der Sensibilität) : « L’architecture immatérielle sera le visage de cette école. Il sera inondé de lumière. Vingt maîtres et trois cents étudiants y travaillent sans programme ni jury d’examen » (Yves Klein, Le dépassement de la problématique de l’art, 1959).
En janvier 1960, Yves Klein crée ses premiers Monogolds en utilisant de l’or, un matériau aussi précieux que symbolique. En février, Yves réalise chez lui des estampes de Rotraut et Jacqueline. Elles imprègnent sur une grande feuille de papier blanc les empreintes de leur corps à l’aide de peinture bleue, en présence de Pierre Restany. L’œuvre est nommée par les participants Célébration d’une nouvelle ère anthropométrique. Avec ces traces inscrites sur le support, Yves Klein veut consolider dans ces signes éphémères des « états-moments de la chair ».
Le 27 octobre 1960, Yves Klein signe dans son appartement le Manifeste des Nouveaux Réalistes avec plusieurs artistes dont Arman, Jean Tinguely, Raymond Hains, Martial Raysse, Daniel Spoerri, Jacques Villeglé, François Dufrêne et le critique d’art Pierre Restany. Niki de Saint-Phalle, Gérard Deschamps et Christo rejoindront plus tard le groupe. Les neuf participants signent les neufs exemplaires de la déclaration.
Le lendemain, Yves Klein réunit Arman, Raymond Hains, Martial Raysse, Pierre Restany et Jean Tinguely afin de réaliser une Anthropométrie suaire collective. Par ce geste Yves Klein intègre les Nouveaux Réalistes à son œuvre.
En janvier 1961 a lieu la première rétrospective institutionnelle pour l’artiste : Yves Klein Monochrome und Feuer au Museum Haus Lange à Krefeld, en Allemagne. La rétrospective se déroule en étroite collaboration avec Yves et Paul Wember, directeur du musée. Yves Klein expose son monochrome bleu, rose et or, son projet Air Architecture, la salle vide et un espace immatériel qui fait depuis partie de la collection permanente du musée. Le mur de feu à l’extérieur se compose de 50 brûleurs alignés. Le 26 février, à la fermeture de l’exposition d’art, le peintre Yves Klein produit ses premiers tableaux enflammés. Une grande feuille de papier ou de carton est offerte aux flammes des becs Bunsen.
Yves Klein et Rotraut se marient à Paris à l’église Saint-Nicolas-des-Champs.
En février, Yves Klein fait un pèlerinage au monastère de Saint Rita à Cascia où il offre un ex-voto : une boîte en plexiglas divisée en plusieurs compartiments et contenant des pigments bleus et roses, des feuilles et des lingots d’or et une prière manuscrite. Cette œuvre d’Yves Klein n’a été découverte qu’après le tremblement de terre de septembre 1979 et authentifiée par Pierre Restany en 1980.
Le 26 mars 1961, Yves Klein et Rotraut Klein arrivent à New York. Au cours de leur séjour, Yves Klein rencontre de nombreux artistes dont Marcel Duchamp, Jasper Johns, Franz Kline, Willem de Kooning, Barnett Newman, Robert Rauschenberg et Mark Rothko.
Le 17 mai, Yves Klein présente devant des représentants du monde de l’art de New York ses films sur des séances d’Anthropométrie et sur l’exposition de Krefeld.
Entre 1960 et 1961, Yves Klein expose son travail dans diverses galeries d’art et musées comme à la galerie Rive Droite à Paris, chez Leo Castelli à New York et à la Dwan Gallery à Los Angeles, au Museum Haus Lange de Krefeld. Yves Klein réalise à cette époque des Peintures de Feu au Centre d’essai de Gaz de France.
Alors qu’Yves Klein commence les Portraits Reliefs de ses amis Arman, Claude Pascal et Martial Raysse, il décède d’une crise cardiaque le 6 juin 1962, à l’âge de 34 ans.
© Galerie Diane de Polignac / Yves Klein Archives
Yves Klein entouré de ses Sculptures Eponges lors de l’exposition “Yves Klein Monochrome und Feuer” , 1961, Haus Lange Museum, Krefeld, Allemagne
© Photo : Pierre Boulat
Collections (sélection)
Amsterdam, Stedelijk Museum
Antibes, Musée Picasso
Bâle, Musée Jean Tinguely
Berlin, Nationalgalerie
Berne, Musée des beaux-arts
Bilbao, Guggenheim
Buffalo, Albright-Knox Art Gallery
Cascia, Monastère Sainte Rita
Cologne, Museum Ludwig
Düsseldorf, Kunstmuseum
Düsseldorf, Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen
Eindhoven, Van Abbe Museum
Francfort, Museum für Moderne Kunst
Fukushima, Iwaki City Art Museum
Gelsenkirchen (Allemagne), Gelsenkirchen Musiktheater
Hakone Open-Air Museum
Hambourg, Hambourg Kunsthalle
Hanover, Dartmouth College
Hiroshima, Hiroshima City Museum
Holtzheim, Museum Insel-Hombroich
Houston, TX, Menil Collection
Hovikodden, Henie-Onstad Museum
Humlebaek, Louisiana Museum
Karlsruhe, Staatliche Kunsthalle
Krefeld, Kaiser Wilhelm Museum
Krefeld, Museum Haus Lange
Leverkusen, Städtisches Museum
Londres, Tate Gallery
Los Angeles, CA, Frederick R.Weisman Foundation
Los Angeles, CA, Museum of Contemporary Art (MoCA)
Lugano, Museo d’arte moderna
Madrid, Museum Reina Sofia
Marseille, Mac galerie contemporaines des musées
Milan, Fondation Lucio Fontana
Mönchengladbach, Städtisches Museum
Mouans-Sartoux, Espace de l’art concret
Munich, Hypovereinsbank
Munich, Staatliche Graphische Sammlung München
New York, NY, Solomon Guggenheim Museum
New York, NY, Museum of Modern Art (MoMA)
Nice, Musée d’art moderne et d’art contemporain
Nîmes, Carré d’art, musée d’art contemporain
Palma de Majorque, Musée de Palma de Majorque
Paris, Fonds national d’art contemporain
Paris, Musée national d’art moderne
Paris, Musée d’art moderne de la Ville de Paris
Reutlingen, Stiftung für konkrete Kunst
Saint-Etienne, Musée d’art moderne
San Francisco, CA, San Francisco Museum of Modern Art (SFMoMA)
Shiga, Museum of Modern Art
Stockholm, Moderna Museet
Stuttgart, Staatsgalerie
Tokyo, Hara Museum of Contemporary Art
Tokyo, Seibu Museum of Art
Tokyo, Sezon Museum of Modern Art
Tokyo, Tokyo Metropolitan Museum
Tokyo, Toyota Municipal Museum of Art
Trente, Museo D’arte moderna e contemporanea
Ulm, Ulmer Museum
Vienne, MUMOK
Washington D.C., Hirshhorn Museum
Yongin (Corée du Sud), Ho Am Museum
Expositions (sélection)
Yves : peintures, Club des Solitaires, Paris, 1955
Festival de l’art d’avant-garde, Cité Radieuse de Marseille, France, Marseille, 1956
Yves : Propositions monochromes, Galerie Colette Allendy, Paris, 1956
Monochrome Propositions of Yves Klein, Gallery One, Londres, 1957
Yves Propositions monochromes, Galerie Schmela, Düsseldorf, 1957
Galerie Iris Clert, Paris, 1957, 1958, 1959
Galleria Apollinaire, Milan, 1957, 1960
Première expérience des pinceaux vivants, Appartement de Robert Godet 9, rue Le-Regrattier, Île Saint-Louis, Paris, 1958
La spécialisation de la sensibilité à l’état de matière première en sensibilité picturale stabilisée (dite “Le Vide”), Galerie Iris Clert, Paris, 1958
Das rote Bild, Abendausstellung, Düsseldorf, 1958
Vision in motion – motion in vision, Hessenhuis, Anvers, 1959
Yves Klein le Monochrome, Galerie Rive Droite, Paris, 1960
Anthropométries de l’époque bleue, Galerie Internationale d’art contemporain, Paris, 1960
Festival du Nouveau Réalisme, Galerie Muratore, Nice, 1961
Yves Klein le monochrome, Leo Castelli Gallery, New York, 1961
Yves Klein Monochrome und Feuer, Museum Haus Lange, Krefeld, 1961
Antagonismes 2 : l’objet, Musée des Arts Décoratifs, Paris, 1962
Yves Klein, Svensk-Franska Konstgalleriet, Stockholm, 1963
Yves Klein Le Monochrome, Peintures de feu, Galerie Tarica, Paris, 1963
Peintures de feu, Galerie Schmela, Düsseldorf, 1964
Yves Klein, Stedelijk Museum, Amsterdam, 1965
Yves Klein, Galerie Alexandre Iolas, Paris, 1965
Yves Klein, Jewish Museum, New York, 1967
Yves Klein, Louisiana Museum of Modern Art, Humlebæk (Danemark), 1968
Yves Klein 1928-1962, Musée des Arts décoratifs, Paris, 1969
Galerie Karl Flinker, Paris, 1973, 1976
Yves Klein, 1928-1962 : Selected writings, Tate Gallery, Londres, 1974
Yves Klein, Nationalgalerie et Neue Berliner Kunstverein, Berlin, 1976
Yves Klein, 1928-1962 : A retrospective, Chicago Museum of Contemporary Art, Chicago, 1982
Yves Klein, Centre Georges Pompidou – Musée national d’art moderne, Paris, 1983
Yves Klein, 1928-1962 : A retrospective, Solomon R. Guggenheim Museum, New York, 1983
La Couleur seule : l’expérience du monochrome, MAC Lyon – Musée d’art contemporain de Lyon, Lyon, 1988
Yves Klein : Salto en el Vacio, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, Madrid, 1995
Yves Klein, Museum Ludwig, Cologne, 1995
Yves Klein, Museet for Samtidskunst, Roskilde (Danemark) 1997
Yves Klein, La vie, la vie elle-même qui est l’art absolu, MAMAC – Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice, Nice, 2000
Tinguely’s Favorites : Yves Klein, Tinguely Museum, Bâle, 2000
Yves Klein, Museo Guggenheim Bilbao, Bilbao, 2005
Marie Raymond – Yves Klein, Musée des beaux-arts d’Angers, Angers, 2005
Yves Klein, Schirn Kunsthalle Frankfurt, Francfort-sur-le-Main, 2005
Marie Raymond – Yves Klein, Ludwig Museum Koblenz, Coblence, 2006
Marie Raymond – Yves Klein, Musée des beaux-arts de Carcassonne, Carcassonne, 2006
ZERO – Internationale Künstler-Avantgarde der 50er/60er Jahre, Stiftung Museum Kunstpalast, Düsseldorf, 2006
Yves Klein Body, Colour and the Immaterial, MUMOK – Museum moderner Kunst Stiftung Ludwig Wien, Vienne, 2007
Marie Raymond – Yves Klein, LAAC – Lieu d’art et action contemporaine de Dunkerque, Dunkerque, 2007
Yves Klein Corps, couleur, immatériel, Centre Georges Pompidou – Musée national d’art moderne, Paris, 2007
Declaring Space: Lucio Fontana, Yves Klein, Barnett Newman, Mark Rothko, Modern Art Museum of Fort Worth, Fort Worth, 2008
Yves Klein & Rotraut, MASI – Lugano Museo d’arte della Svizzera italiana, Lugano, 2009
Vides. Une rétrospective, Centre Georges Pompidou – Musée national d’art moderne, Paris, 2009
Marie Raymond – Yves Klein, Herencias, Círculo de Bellas Artes, Madrid, 2010
La couleur en avant, MAMAC – Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice, Nice, 2011
Klein – Byars – Kapoor, MAMAC – Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice, Nice, 2012
Explosion ! Painting as Action, Moderna Museet, Stockholm, 2012
Ends of the Earth: Land Art to 1974, MOCA – Los Angeles Museum of Contemporary Art, Los Angeles, 2012
Destroy the Picture : Painting the Void, 1949-1962, Chicago Museum of Contemporary Art, Chicago, 2013
Explosió! El llegat de Jackson Pollock, Fundació Joan Miró, Barcelone, 2013
Yves Klein / David Hammons, Aspen Art Museum, Aspen, 2014
Formes simples, Centre Pompidou Metz, Metz, 2014
Naissance d’un musée – Louvre Abu Dhabi, Musée du Louvre, Paris, 2014
Art and Alchemy, Stiftung Museum Kunstpalast, Düsseldorf, 2014
ZERO in South America, Pinacoteca do Estado de São Paulo, São Paulo, 2014
La bande à Niki, Musée en Herbe, Paris, 2014
Dries Van Noten – Inspirations, Musée des Arts décoratifs, Paris, 2014
Bleu, jaune, rouge : la couleur libérée, Musée de Tessé, Le Mans, 2015
Painting 2.0: Expression in the Information Age, Museum Brandhorst, Munich, 2015
La Petite Galerie du Louvre – Les mythes fondateurs, Musée du Louvre, Paris, 2015
Black Sun, Fondation Beyeler, Bâle, 2015
ZERO : let us explore the stars, Stedelijk Museum, Amsterdam, 2015
Nel Blu dipinto di Blu – da Yves Klein, la magia di un colore nell’arte contemporanea, MACA – Museo Arte Contemporanea Acri, Acri, Italie, 2015
Under the Clouds : from Paranoia to the Digital Sublime, Serralves Museum, Porto, 2015
Futurs… Matisse, Miro, Calder…, Centre de la Vieille Charité, Marseille, 2015
Lee Mingwei and His Relations : The Art of Participation, Taipei Fine Arts Museum, Taipei, 2015
Collectors, MAMAC – Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice, Nice, 2015
Yves Klein Lucio Fontana Milano Parigi 1957-1962, Museo del Novecento, Milan, 2015
ZERO – Countdown to tomorrow 1950’s – 60’s, Solomon R. Guggenheim Museum, New York, 2015
Azimuth. Continuity and the new, Peggy Guggenheim Collection, Venise, 2015
Lee Mingwei and His Relations : The Art of Participation, Mori Art Museum, Tokyo, 2015
Sacha Sosno. Un témoin particulier de l’École de Nice, Musée Regards de Provence, Marseille, 2015
Painting 2.0: Expression in the Information Age, MUMOK – Museum moderner Kunst Stiftung Ludwig Wien, Vienne, 2016
Musicircus – Œuvres phares du Centre Pompidou, Centre Pompidou Metz, Metz, 2016
Pierre Descargues et Yves Klein – 160gr d’or, Hiekka Art Museum, Tampere, 2016
Sulla Croce, MASI – Lugano Museo d’arte della Svizzera italiana, Lugano, 2016
Archéologie du Présent, MAMC – Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, Saint-Étienne, 2016
Performing for the Camera, Tate Modern, Londres, 2016
Prière de toucher – Le sens tactile de l’art, Tinguely Museum, Bâle, 2016
Coopération – 20ème anniversaire de la Fondation Beyeler, Fondation Beyeler, Bâle, 2017 Klaus Rinke. Düsseldorf mon amour, Centre de Création Contemporaine Olivier Debré, Tours, 2017
L’expérience de la couleur, Musée national de céramique, Sèvres, 2017
À propos de Nice. 1947-1977, MAMAC – Musée d’Art moderne et d’Art contemporain de Nice, Nice, 2017
Red over Yellow, Tel Aviv Museum of Art, Tel Aviv, Israël, 2017
Georges Pompidou et l’art : une aventure du regard, Domaine National de Chambord, Chambord, 2017
L’œil écoute, Centre Georges Pompidou – Musée national d’art moderne, Paris, 2017
A Pied d’œuvre(s), Monnaie de Paris, Paris, 2017
Yves Klein – Theatre of the Void, BOZAR, Bruxelles, 2017
Yves Klein – Retrospectiva, PROA Fundación, Buenos Aires, 2017
Alberto Burri : lo Spazio di Materia – tra Europa e U.S.A, Fondazione Palazzo Albizzini, Collezione Burri, Città di Castello, 2017
Yves Klein at Blenheim Palace, Blenheim Palace, Woodstock, 2018
L’envol, La maison rouge, Paris, 2018
Cosmogonies – Au gré des éléments, MAMAC – Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice, Nice, 2018
Yves Klein – Pigment Pur, Fondation Venet, Le Muy, 2018
School of Nice – From Pop Art to Happening, Hong Kong City Hall, Hong Kong, 2018
Or, MUCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée, Marseille, 2018
La Méditerranée et l’art moderne, Musée Mohammed VI d’Art Moderne et Contemporain, Rabat, 2018
Au diapason du monde, Fondation Louis Vuitton, Paris, 2018
Gravité Zéro – Une exploration artistique de l’espace, Les Abattoirs, Toulouse, 2018
L’Aventure de la couleur. Œuvres phares du Centre Pompidou, Centre Pompidou Metz, Metz, 2018
The day is blue, the silence is green, life is yellow, Museo Experimental el Eco, Mexico, 2018
Yves Klein – Des cris bleus, Musée Soulages, Rodez, 2019
Préhistoire, une énigme moderne, Centre Georges Pompidou – Musée national d’art moderne, Paris, 2019
Gigantisme – Art & Industrie, FRAC Grand Large, Dunkerque, 2020
Suspension – A History of Abstract Hanging Sculpture. 1918 – 2018, Palais d’Iena, Paris, 2018
The Moon : From Inner Worlds to Outer Space, Louisiana Museum of Modern Art, Humlebæk, 2019
Le supermarché des images, Galerie nationale du Jeu de Paume, Paris, 2020
Bibliographie (sélection)
Pierre Restany, Yves Klein, le feu au cœur du vide, Paris, La Différence, 1990
Lydia Harambourg, L’Ecole De Paris, 1945-1965 : Dictionnaire Des Peintres, Lausanne, Ides et Calendes, 1993
Annette Kahn, Yves Klein, Le maître du bleu, Paris, Stock, 2000
Jean-Michel Ribettes, Yves Klein contre C. G. Jung, Bruxelles, La Lettre volée, 2003
Pierre Descargues, Yves Klein, Neuchâtel, Ides et Calendes, 2003
Collectif, Spiritualité et matérialité dans l’œuvre d’Yves Klein, Prato, Gli Ori, 2003
Denys Riout, Yves Klein Manifester l’immatériel, Paris, Gallimard, Paris, 2004
Pierre Restany, Yves Klein Fire at the Heart of the Void, Putnam, Spring Publications, 2005
Denys Riout, Yves Klein Vers l’immatériel, Paris, Dilecta, Paris, 2006
Alain Jouffroy, Manifeste pour Yves Klein, Besançon, Virgile, 2006
André Bonet, Yves Klein Le peintre de l’infini, Paris, Éditions du Rocher, 2006
Catherine Millet, Yves Klein, Paris, Art Press (hors-série), 2006
Terhi Genévrier-Tausti, L’envol d’Yves Klein. L’origine d’une légende, Paris, Area revue, 2006
Riout, Denys, Yves Klein, L’aventure monochrome, Paris, Gallimard, 2006
Jacques Bouzerand, Yves Klein au-delà du bleu, Garches, Éditions À Propos, 2006
Collectif, Yves Klein USA, Paris, Dilecta, 2009
Pierre Musso, Yves Klein Fin de représentation, Paris, Manucius, 2010
Denys Riout, Yves Klein Expressing the Immaterial, Paris, Dilecta, 2010
Frédéric Prot, Yves Klein Incandescence, Milan, 5 Continents, 2012
Frédéric Prot, Yves Klein Embrasure, Milan, 5 Continents, 2012
Collectif, Yves Klein Claude Parent Le Mémorial, Projet d’architecture, Paris, Dilecta, 2013
Hannah Weitemeier, Yves Klein, Cologne, Taschen, 2016
Matthias Koddenberg, Yves Klein – IN/OUT Studio, Dortmund, Verlag Kettler, 2016
Antje Kramer Mallordy, Yves Klein Germany, Paris, Dilecta, 2017
Robert Fleck, Yves Klein – L’aventure Allemande, Paris, Manuella, 2018
Yves Klein, les éléments et les couleurs, Paris, Arteos, 2020
Yves Klein, Japon, Paris, Dilecta, 2020
Sur la page FAQ YVES KLEIN retrouvez l’ensemble des questions et des réponses dédiées à l’artiste peintre d’art moderne Yves Klein.